Pièces de théâtre du XIXe siècle
Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Ferdinand Martin est trompé par son grand ami Agénor. Pour se venger, il décide d'emmener sa femme, son cousin espagnol et Agénor en Suisse avec le projet de jeter Agénor dans un gouffre. Mais l'amitié entre Ferdinand et Agénor est plus forte.
Hernani de Victor Hugo Drame en cinq actes et en vers représenté pour la première fois à la Comédie-Française le 25 …
Mille francs de récompense de Victor Hugo Drame en quatre actes écrit du 5 février au 29 mars 1866 et achevé …
Hector veut épouser Hortense, mais il a un gros défaut... il abuse des adverbes et Hortense ne le supporte plus. Il a, de plus, un rival en la personne de Peters Fougasson, un Américain, qui vient de perdre sa femme et qui est persuadé qu'Hortense est son sosie...
Tirade d’Aïrolo dans Mangeront-ils ? de Victor Hugo (Acte I, Scène 4) Lord Slada Qu’es-tu ? Aïrolo ………………..Celui qui rôde. Un …
Olympia vient d'épouser le maître-clerc Piquefeu dans le seul but de faire revivre le souvenir de son défunt mari l'avoué Jules Montgicourt dont le portrait trône dans la maison. C'est alors que Bésuchon arrive car il vient de découvrir dans l'armoire de sa femme 32 lettres d'amour signées Jules. Il reconnait l'écriture de Montgicourt...
Le Substitut craint d'être révoqué car Barbemolle, avocat au Barreau de Paris, voudrait prendre sa place. Dans la salle d'audience, Lagoupille se présente pour être jugé des faits qui lui sont reprochés mais ce dernier n'a pas d'avocat... Par chance, le fameux Maître Barbemolle est présent dans la salle et va être désigné avocat de Lagoupille par l'huissier.
Ces saynètes de Courteline sont issues des chroniques régulières parues dans L’Echo de Paris, sous le titre Ombres Parisiennes et signées Jean de la Butte, en l’honneur de Montmartre.
Le dentiste Alzéador est amoureux de sa cuisinière, la plantureuse Prudence. Il convainc son domestique, Jesabel, d'épouser Prudence pour éviter toute tentation adultère. Mais très rapidement Alzéador regrette cette idée...
Monsieur de Couacanlaire, "ténor léger de salon", donne un récital et voulant joindre le geste à la parole, veut prendre un mouchoir, qui reste coincé dans son habit...
Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d'hiver. C'est son jour de réception mais il est l'unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour. Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s'achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer.
Un homme qui croupit en prison prépare son évasion, en se dissimulant dans le matelas de son co-détenu qui vient de mourir.
