Pièces de théâtre du XIXe siècle
Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Le Théâtre de Henry Becque Henry Becque est principalement connu pour deux pièces, Les Corbeaux et La Parisienne, mais nous vous …
Place de la Bastille, un marchand de chansons accompagné d'un jeune homme aveugle fait la promotion en musique des dernières chansons à la mode, ce qui ne plait pas à un boucher...
Le théâtre de George Sand Libre Théâtre débute le traitement de l’œuvre théâtrale de George Sand. On compte 31 pièces dont 25 …
La Grammaire d’Eugène Labiche et Alphonse Jolly Comédie-vaudeville en un acte, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du …
Plumard, mari trompé de Pépita, décide de faire venir la police pour constater les faits. Taupinier, l'amant, arrive, mais Pépita le renvoie chercher le journal et une broche en forme de chien qu'elle a égarée la veille. Arrive Lemercier, un instituteur qui pense avoir trouvé le « chien » de Pépita. Taupinier revient avec le journal dans lequel on parle d'un dangereux tueur qui ressemble étrangement à Lemercier.
Un jeune diplomate épouse par ordre impérial une petite fille de quinze ans ; et, toujours par ordre impérial, il part pour Naples, sans avoir vu sa femme. Il reste cinq ans absent, et quand il est près de revenir, lajeune épouse à qui la correspondance suffisait à peine, va au-devant de son mari, et l'accompagne sans se faire reconnaître depuis Marseille jusqu'à Aix
Les progrès techniques dans les pièces de Feydeau Le théâtre du vaudeville est souvent comparé à une machinerie, dans la construction même …
Faribol, un musicien volage, avoue ses frasques dans son sommeil et révèle l’adresse de son prochain rendez-vous. Sa femme, Alexandra, décide de "pincer" son mari et se rend à la fameuse adresse. Elle le menace : œil pour œil, dent pour dent, si il la trompe, elle en fera de même.
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l'Académie d'Etampes, et propriétaire d'une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu'il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l'académicien d'Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu'on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n'épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c'est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c'est que ce fils n'est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s'habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l'endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.
La scène se passe dans un tribunal. Champignon accuse sa femme, Désirée, de l'avoir trompé avec son ami Canuche. Désirée révèle au tribunal que c'était pour se venger car son mari l'avait trompée avec Hortense Bezuche, une de ses amies.
Un journaliste vient interviewer un marchand de vin : une charge contre l'alcoolisme, avec un premier dialogue mettant en scène le marchand de vin et une mère de famille pauvre et alcoolique, contre la presse à scandale et contre les théories absurdes de Cesare Lombroso sur le "criminel né".
Tout le monde sait que les bêtes du Jardin des Plantes sont insuffisamment nourries.
