Pièces de théâtre du XIXe siècle

Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger. 

Chantecler d’Edmond Rostand Pièce en quatre actes et en vers représentée pour la première fois au Théâtre de la Porte-Saint-Martin, le …

Lucile, une jeune femme  de bonne famille attend son professeur de piano et pense qu'il s'agit d'Edouard qui vient de demander à la voir. Edouard, jeune provincial qui arrive à Paris,  se trompe en réalité de maison, pensant être chez une actrice légère.

Séraphine Pommeau est une jeune femme, belle et coquette, épouse d'un maître clerc plus âgé, honnête et modeste.  Leur appartement est très richement décoré et les toilettes de Séraphine, très élégantes :  c'est grâce à son ingéniosité pour dénicher de bonnes affaires pense son mari. Thérèse Lecarnier, pupille élevée par Pommeau, craint que les dépenses de Séraphine ne ruinent le clerc. En réalité, Séraphine se fait entretenir par son amant, qui n'est autre que Léon Lecarnier, le mari de Thérèse.

Louison d’Alfred de Musset Comédie en deux actes et en vers représentée pour la première fois au Théâtre-Français le 22 février …

26 de Georges Courteline Saynète éditée dans Coco, Coco et Toto (1910). Distribution : 2 hommes Texte à télécharger gratuitement sur …

Georges Feydeau divague sur l'élixir inventé par Brown-Séquard, en faisant intervenir notamment Louise Michel ou Jules Grévy.

On veut réformer la Constitution ! C’est parfait ! je ne la connais pas, moi, cette Constitution ; mais il est évident qu’elle a besoin de réparations parce qu’il n’est pas de si bonne Constitution qui ne se détériore avec le temps. Alors il s’est agi de s’entendre. C’est pour cela qu’on a réuni le Congrès… et on n’a rien entendu du tout ! On a crié si fort, qu’il n’y a que les sourds qui ont entendu quelque chose, et que ceux qui entendaient en sont revenus sourds. Eh ! bien, pendant qu’on criait, je l’ai trouvé le remède ; je l’ai trouvé dans le journal. Pour les constitutions faibles, demander le fer Bravais ! Eh bien, voilà votre affaire ! le fer ! tout le monde aux fers ! C’est le seul moyen d’avoir un peuple libre et indépendant. Eh ! bien, alors, vling ! vlan ! réformons !

Suis-je vraiment trop vieux... Monologue d'un homme qui se demande face à une jeune femme si il est vraiment trop vieux...

La Forêt mouillée de Victor Hugo Comédie en un acte et en vers. Texte daté du 14 mai 1854, publié dans …

Le 1er janvier, un bourgeois nommé Landhouille établit la liste des étrennes qu’il a reçu (aucune) et celles qu'il a donné à quantité de fâcheux et de casse-pieds. Alors qu’il est au milieu de cet inventaire à la Prévert, d’autres importuns viennent avec insolence réclamer leur part : un cocher de l'"Urbaine"qui l’a renversé lors d’une course en fiacre,  un soldat qui se révèle l’amant de sa cuisinière,  Louison, son ancienne maîtresse, accompagnée "d'un monsieur bien mis".

Lauriane est impatient de recevoir une dépêche qui lui confirmera qu'il est récipiendaire des palmes académiques... Margot sa maîtresse et Ursule sa bonne subissent sa mauvaise humeur jusqu'à l'arrivée de Camille que Lauriane courtise.  Camille a pour amant le peintre Lavernié qui doit lui envoyer la dépêche pour les palmes. Lorsque  Lauriane apprend qu'il n'a pas obtenu les palmes, il propose à Lavernié de prendre Margot pour maîtresse. Au second acte, on retrouve Margot dans l'atelier de peintre de Lavernié, échangeant avec lui des mots doux. Mais Laurianne arrive, accuse son ami de traîtrise et demande Margot en mariage.

Pendant une absence de son épouse, Hector reçoit la visite de sa voisine d’en face, Emma, venue solliciter son aide. Pour donner une leçon à son mari, elle demande à son interlocuteur de lui faire la cour devant la fenêtre ouverte. Hector hésite à s’exécuter. Mais soudain Emma aperçoit son époux en tête à tête avec une inconnue. Elle sort rapidement, « pour lui arracher les yeux ». Hector croit alors reconnaître dans cette femme sa propre épouse et, désireux de se venger, il attend le retour d’Emma, prêt, cette fois, à satisfaire à tous ses caprices. Cependant, sa visiteuse, revenue, lui explique que l’inconnue n’était autre que la nouvelle bonne ; renvoyée de chez Hector, elle avait revêtu la robe dont sa maîtresse lui avait fait présent..

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