Pièces pour 10 à 20 comédiens ou comédiennes

Œuvres théâtrales pour 10 comédiens à 20 ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Polyeucte de Pierre Corneille Tragédie en cinq actes et en vers représentée pour la première fois sur le Théâtre de l’Hôtel …

Le jour de ses noces, Fadinard court à la poursuite d’un chapeau de paille, suivi par son beau-père et l'ensemble de la noce.  Le matin même son cheval a mangé le chapeau de Mme Anaïs Beauperthuis en plein rendez-vous avec son amant. Pour éviter les soupçons de son mari violent et jaloux, Fadinard doit partir à la recherche d'un chapeau identique.  Cette recherche l'entraîne chez une modiste, qui se trouve être une ancienne amie, puis chez une baronne, puis chez le mari de la dame volage. La série de quiproquos s'achève devant le domicile de Fadinard où la police finit par embarquer tout le monde pour tapage nocturne.

Les Corbeaux de Henry Becque Drame en quatre actes et en prose, représenté pour la première fois à la Comédie-Française le …

Fantasio d’Alfred de Musset Comédie en deux actes et en prose, écrite en 1833, publiée en 1834 dans le recueil Un …

Les Femmes savantes de Molière Pièce de théâtre en cinq actes et en alexandrins, créée au théâtre du Palais-Royal le 11 …

La Station Champbaudet d’Eugène Labiche et Marc-Michel Comédie-vaudeville en trois actes, représentée pour la première fois, à Paris, sur le théâtre du …

Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l'abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l'exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l'art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l'hôtel, à condition qu'il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n'a d'autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l'hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d'abord de l'air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin.

Les Affaires sont les affaires d’Octave Mirbeau Comédie en trois actes, créée le 20 avril 1903 à la Comédie-Française. Texte intégral à …

Tragédie en 2 actes de Jean Giraudoux, créée à Paris le 21 novembre 1935, publiée le 14 décembre 1935 dans la revue La Petite Illustration puis dans La Revue de Paris avant d'être éditée en décembre 1935 par Bernard Grasset. Une pièce qui parle de la guerre, de la paix et de la stupidité des hommes...

Séraphine Pommeau est une jeune femme, belle et coquette, épouse d'un maître clerc plus âgé, honnête et modeste.  Leur appartement est très richement décoré et les toilettes de Séraphine, très élégantes :  c'est grâce à son ingéniosité pour dénicher de bonnes affaires pense son mari. Thérèse Lecarnier, pupille élevée par Pommeau, craint que les dépenses de Séraphine ne ruinent le clerc. En réalité, Séraphine se fait entretenir par son amant, qui n'est autre que Léon Lecarnier, le mari de Thérèse.

Le docteur Paginet, qui mène des recherches pour montrer que les microbes n'existent pas, attend avec impatience que le ministre lui décerne la Croix de la légion d'honneur en hommage à ses travaux. Afin d'accélérer le processus, Paginet envisage de marier sa nièce Simone à Plumarel. En effet ce dernier, neveu d'un ministre, a promis au docteur d'intervenir en sa faveur. Malheureusement Simone ne ressent rien pour Plumarel et est plutôt amoureuse de Dardillon.

Les amies d'Isoline envahissent son appartement dès que Florimon quitte les lieux :  solliciteuse, grisette, femme de lettres, modèle... elles sont pleines d'esprit mais sans argent. Deux d'entre elles ont donné des rendez-vous chez Isoline à de jeunes nobles, qui vont s'avérer tout aussi désargentés qu'elles. Arrivent aussi Mme Guenuchaud qui veut se faire payer ses loyers en retard et Mme Malabar, marchande à la toilette.

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