Pièces pour 10 à 20 comédiens ou comédiennes
Œuvres théâtrales pour 10 comédiens à 20 ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Brutus qui a contribué à établir la République romaine en chassant le roi Tarquin, est menacé par une conspiration. Les deux fils de Brutus, Titus et Tibérinus, sont amoureux d'Aquilie, fille d'Aquilius, le chef des comploteurs. Tibérinus par conviction et Titus, par amour, rejoignent la conjuration, qui échoue, découverte par un esclave. Titus, rongé par le remords vient se dénoncer à son père. Brutus, à qui le Sénat a confié le soin de décider du sort de ses deux fils, prononce leur condamnation à mort.
A Naples, le jeune Célio est amoureux de Marianne, épouse du juge Claudio. Il n'ose l'aborder et fait appel à Pippo, son valet puis à son ami Octave, cousin du mari de Marianne, un jeune homme, bon vivant et libertin. Celle-ci continue de refuser ses avances. Alors qu'elle est irréprochable, son mari Claudio la menace. Pour se venger, Marianne revoit alors Octave, tombe amoureuse et lui avoue à demi-mot son amour. Elle lui donne rendez-vous.
Le riche négociant, Vanderk, marie sa fille. Le même jour, son fils doit se battre en duel contre un officier qui a traité tous les commerçants de fripons. Considérant que son père a été insulté, le fil provoque l'officier en duel. L'atmosphère de fête liée au mariage est assombri par la perspective de ce duel. La scène centrale de la pièce met en scène l'échange entre le père et le fils : le fils se demande si son père a réellement été insulté et s'il ne risque pas de tuer un innocent. Le père condamne le duel, « préjugé funeste » et « abus cruel du point d'honneur », mais il ne détourne pas son fils de son projet pour sauver son honneur.
Amphitryon de Molière Comédie en trois actes représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal,le 13 janvier …
Les Héritiers Rabourdin de Emile Zola Comédie en trois actes, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre de …
Un vaudeville ferroviaire qui se déroule successivement dans un administration des chemins de fer où des actionnaires attendent de percevoir leurs dividendes, un quai d'embarquement, le buffet d'une gare, une chambre d'un hôtel garni et le bureau du chef de gare... Tapiou occupe successivement les fonctions de caissier, graisseur de wagons, employé des chemins de fer, cuisinier... Il accompagne les pérégrinations de Ginginet, sa femme Clémence, sa bonne Colombe et sa nièce anglaise Jenny qui vont en Alsace afin de célébrer le mariage de Jenny et du caissier Lucien Faillard.
Chimène et Rodrigue s'aiment, mais Don Diègue, le père de Rodrigue, et le Comte de Gomès, le père de Chimène, se querellent. Le Comte offense Don Diègue en le souffletant. Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, demande à Rodrigue de sauver son honneur. Rodrigue tue le père de Chimène en duel. Bien qu'elle soit toujours amoureuse, Chimène doit à son tour défendre son honneur en réclamant à Don Fernand, roi de Castille, la tête de Rodrigue.Mais l’attaque du royaume par les Maures donne à Rodrigue l’occasion de montrer sa valeur et d’obtenir le pardon du roi. Plus que jamais amoureuse de Rodrigue, Chimène reste sur sa position et obtient du roi un duel entre don Sanche, qui l'aime aussi, et Rodrigue. Elle promet d’épouser le vainqueur. Rodrigue victorieux reçoit du roi la main de Chimène : le mariage sera célébré l'année suivante.
Monsieur de la Serre, riche et avare, sur le point de marier son fils avec la fille de M. Oronte, change d'avis et fait la demande en mariage pour lui-même. Pimandre, son fils, est désespéré. Merlin, valet d'un de ses amis lui propose ses services. Alors que le mariage est conditionné par le retour du fils d'Oronte, capitaine de dragons, Merlin et quelques comparses se déguisent en militaires et s'installent dans la maison de M. de la Serre, en pillant ses biens. Pour se débarrasser du capitaine, La Serre consent à ce que son fils épouse la fille de M. Oronte.
Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l'abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l'exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l'art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l'hôtel, à condition qu'il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n'a d'autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l'hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d'abord de l'air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin.
Tragédie en 2 actes de Jean Giraudoux, créée à Paris le 21 novembre 1935, publiée le 14 décembre 1935 dans la revue La Petite Illustration puis dans La Revue de Paris avant d'être éditée en décembre 1935 par Bernard Grasset. Une pièce qui parle de la guerre, de la paix et de la stupidité des hommes...
La Nuit vénitienne ou les noces de Laurette d’Alfred de Musset Comédie en un acte, représentée pour la première fois le …
Antigone de Jean de Rotrou Pour cette première chronique sur les œuvres théâtrales du domaine public, nous avons choisi de mettre …