Comédies
Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Dialogue épicé entre Chichinette la maîtresse de maison et Eponine, sa bonne : la bouteille de Madère est vide, alors que la veille il en restait un tiers.
Ensemble de monologues et saynètes, mettant en scène des couples (qui s'appellent souvent entre eux Coco) et leur petit garçon Toto.
Chateaugredin se prépare à passer une bonne soirée : sa femme est en vacances à Deauville, il vient d'hériter de sa tante et pour célébrer sa fête, il va se faire livrer un bon dînez chez sa maîtresse, une de ses locataires Anaïs de Ripincel. Mais sa femme rentre de manière inopinée : Chateaugredin va devoir modifier son programme, avec la complicité des deux domestiques qu'il a engagés au service d'Anaïs.
Les Lepinois marient leur fille Thérèse à Olivier de Millancey. Sa jeune sœur Laure a des vues sur son cousin Robert, un artiste mais ses parents préfèrent le baron de Mongicourt. Chacun donne à Thérèse quelques conseils avant la nuit de noces. Le mariage passé, Olivier lance sa femme dans le monde lors d'un bal, qui dégénère : Thérèse est extrêmement belle et tous les hommes se pressent autour d'elle, Olivier embrasse Madame de Tremble, quant à Laure, elle se met à jouer au bacarat...
Ces saynètes de Courteline sont issues des chroniques régulières parues dans L’Echo de Paris, sous le titre Ombres Parisiennes et signées Jean de la Butte, en l’honneur de Montmartre.
La Partie de bridge de Tristan Bernard Saynète représentée au Théâtre de la Michodière le 24 avril 1937. Retraitement par Libre …
L’Âne et le ruisseau d’Alfred de Musset Comédie en un acte d’Alfred de Musset, écrite en 1855 et éditée après la …
Un Perdreau de l’année de Tristan Bernard Comédie en trois actes et en prose, représentée pour la première fois sur la …
Les ressorts comiques du langage chez Feydeau Au-delà de la belle mécanique du vaudeville et de la modernité de la critique …
Deux enfants, un garçon et une fille, discutent de leur avenir tout en essayant d'apprendre une fable de La Fontaine...
Célie est amoureuse de Lélie, parti en voyage, mais son père veut la marier à un autre. Elle égare le portrait Lélie qui est ramassé par la femme de Sganarelle. Sganarelle pense alors que sa femme le trompe avec l'homme du portrait, alors que celle-ci le pense infidèle. Lélie, de son côté, est persuadé que Célie s’est mariée et qu'elle ne l’aime plus. Sganarelle veut se venger... Heureusement, la suivante de Célie dissipe les quiproquos et tout rentre dans l’ordre.
Monsieur Chaponais, bourgeois hypocondriaque, a signé un contrat de 10 ans avec son médecin, Monsieur Martaban, pour qu’il le soigne quotidiennement. Martaban s’est installé dans l’appartement au-dessus de celui de Chaponais pour être plus proche de son malade. Ces messieurs sortent régulièrement, avec leurs épouses, aux spectacles de la vie parisienne. Mais M. Chaponais est tourmenté, au grand dam de son médecin : il a trouvé dans l’étui à lunettes de Ninette, sa femme, un petit mot doux du jeune Ernest de Pontfarcy.
