Comédies
Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Arnolphe, voulant se marier mais redoutant d'être trompé, a fait élever sa pupille Agnès dans un couvent, dans la plus parfaite ignorance. Ainsi il est sûr qu'elle ne sera pas corrompue. Il la fait revenir pour l'épouser, mais à la faveur d'une de ses absences, Horace, fils de son ami Oronte, tombe amoureux de la jeune fille. Il prend pour confident Arnolphe dont il ignore qu'il est le geôlier d'Agnès. Arnolphe apprend à Agnès son projet de l'épouser.
Les Femmes savantes de Molière Pièce de théâtre en cinq actes et en alexandrins, créée au théâtre du Palais-Royal le 11 …
Le Domino à quatre de Henry Becque Comédie en un acte, publiée en 1897 dans la revue La Vie Parisienne, représentée …
Moulineaux est médecin, il est marié et il a découché. Sa femme, Yvonne, demande des explications. Moulineaux qu'il a été toute la nuit au chevet de Bassinet, qui, manque de chance arrive pour lui demander un service. Bassinet cherche à louer un petit entresol, ancien atelier de couturière, qui ferait une excellente garçonnière... si la belle mère de Moulineaux ne le voulait pas également, et si le mari de sa maîtresse ne venait pas, lui aussi, avec sa propre maîtresse...
À quoi rêvent les jeunes filles d’Alfred de Musset Comédie en deux actes et en vers. Publication dans la Revue des …
Un Voleur, qui est en réalité un homme du monde accompagné de son valet de chambre, est surpris en plein travail par le Volé, réveillé en sursaut. En attendant l’arrivée du commissaire de police, le Volé entame une conversation de salon avec son Voleur lui demandant les raisons du choix de cette profession. Le Voleur répond que c'est par excès de scrupule : après avoir essayé plusieurs professions (le commerce, la finance, le journalisme, la politique...) et s'être aperçu que le vol règne partout, il a choisi de voler loyalement et honnêtement. Convaincu, le Volé éconduit le commissaire et raccompagne le Voleur par la grande porte.
« J' vends du buis l'jour des Rameaux »
Les Deux Canards de Tristan Bernard et Alfred Athis Comédie en trois actes, représentée pour la première fois le 3 décembre …
Lobligeois et Rotanger ont une belle boutique et une bonne enseigne : "Au Castor Laborieux". Mais ils ne cessent de se disputer depuis qu'ils se sont mariés et les épouses mettent de l'huile sur le feu... la dispute se concentre sur le cachemire X.B.T. dont personne ne veut : c'est un joli châle pour l'un, une horreur pour l'autre...
Comédie en deux actes, écrite en 1880, représenté pour la première fois à Paris à la Comédie-Française, le 6 mars 1893. Le comte Jean de Sallus est un homme infidèle, qui délaisse son épouse et multiplie les aventures avec de jeunes comédiennes. Sa femme, Madeleine, après s'être révoltée, a fini par prendre un amant, Jacques de Randol, qui est follement amoureux d'elle. Mais Sallus modifie brusquement son comportement et décide de reconquérir Madeleine. Celle-ci ne se laisse pas avoir... Une courte pièce qui offre un beau rôle de femme déterminée.
La Dispute de Marivaux Comédie en un acte et en prose représentée pour la première fois par les comédiens Français, le 19 Octobre 1744
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l'Académie d'Etampes, et propriétaire d'une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu'il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l'académicien d'Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu'on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n'épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c'est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c'est que ce fils n'est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s'habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l'endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.