Pièces de théâtre du XVIIe siècle
Œuvres théâtrales du XVIIème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière Comédie en cinq actes et en prose, représentée pour la première fois …
L’Impromptu de Versailles de Molière Comédie en un acte, représentée la première fois à Versailles pour le Roi, le 14e octobre …
Éraste est amoureux de Julie, mais le père de Julie, Oronte, souhaite la donner en mariage à un gentilhomme limousin, Monsieur de Pourceaugnac. Grâce à Nérine, une femme d'intrigues et le Napolitain Sbrigani, les deux amoureux vont tout mettre en œuvre pour faire échouer ce mariage.
Les Femmes savantes de Molière Pièce de théâtre en cinq actes et en alexandrins, créée au théâtre du Palais-Royal le 11 …
Le Misanthrope de Molière Comédie en cinq actes et en vers, représentée pour la première fois le 4 juin 1666 sur …
Polyeucte de Pierre Corneille Tragédie en cinq actes et en vers représentée pour la première fois sur le Théâtre de l’Hôtel …
L’aveu de Phèdre à Œnone – Phèdre de Racine Extrait de l’acte I, scène 3. Lien vers le texte intégral de …
Les Visionnaires de Jean Desmarets de Saint-Sorlin Comédie en cinq actes et en vers représentée pour la première fois au public …
Riche paysan, George Dandin a épousé Angélique de Sotenville, fille d’un gentilhomme ruiné, et obtenu le titre de « Monsieur de la Dandinière ». Mais il ne tarde pas à s’apercevoir que son mariage est un véritable marché de dupe... Apprenant de Lubin, messager du jeune Clitandre, que sa femme se laisse volontiers courtiser par son maître, Dandin tente de faire éclater l’affaire aux yeux de ses beaux-parents qui le méprisent. Il se heurte alors à la fourberie de Claudine et de sa maîtresse Angélique, qui n’a pas choisi cette alliance et refuse de « s’enterrer toute vive dans un mari ». Par trois fois, tandis que Dandin est sur le point de prouver la légèreté de sa femme, la situation se retourne contre lui. Et c’est ridiculisé et humilié qu’il doit présenter lui-même des excuses à ceux qui l’ont trompé.
L’aveu de Phèdre (Acte II, scène 5) Phèdre. Ah, cruel ! tu m’as trop entendue ! Je t’en ai dit assez …
Monsieur de la Serre, riche et avare, sur le point de marier son fils avec la fille de M. Oronte, change d'avis et fait la demande en mariage pour lui-même. Pimandre, son fils, est désespéré. Merlin, valet d'un de ses amis lui propose ses services. Alors que le mariage est conditionné par le retour du fils d'Oronte, capitaine de dragons, Merlin et quelques comparses se déguisent en militaires et s'installent dans la maison de M. de la Serre, en pillant ses biens. Pour se débarrasser du capitaine, La Serre consent à ce que son fils épouse la fille de M. Oronte.
Arnolphe, voulant se marier mais redoutant d'être trompé, a fait élever sa pupille Agnès dans un couvent, dans la plus parfaite ignorance. Ainsi il est sûr qu'elle ne sera pas corrompue. Il la fait revenir pour l'épouser, mais à la faveur d'une de ses absences, Horace, fils de son ami Oronte, tombe amoureux de la jeune fille. Il prend pour confident Arnolphe dont il ignore qu'il est le geôlier d'Agnès. Arnolphe apprend à Agnès son projet de l'épouser.
