Pièces de théâtre du XVIIe siècle
Œuvres théâtrales du XVIIème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Monologue de Sosie dans Amphitryon de Molière (Acte I, scène 1) Sosie, seul. Qui va là ? Heu ? Ma peur, …
Les Fourberies de Scapin de Molière Comédie en trois actes et en prose, représentée pour la première fois au théâtre du …
Le théâtre au XVIIe siècle La Tragédie Reprenant les théories de la Poétique d’Aristote, très commentée pendant la Renaissance, et à …
Polyeucte de Pierre Corneille Tragédie en cinq actes et en vers représentée pour la première fois sur le Théâtre de l’Hôtel …
Orgon et sa mère, Madame Pernelle, sont tombés sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Orgon lui lègue ses biens et veut que Tartuffe épouse sa fille, Marianne, alors que Tartuffe tente de séduire Elmire, la femme d'Orgon. Démasqué grâce à un piège tendu par cette dernière, Tartuffe veut ensuite chasser Orgon de chez lui. En se servant de papiers compromettants qu’Orgon lui a remis, il va le dénoncer au Roi.
Monologue de Don Rodrigue dans le Cid de Corneille (Acte I, scène 6) Don Rodrigue Percé jusques au fond du cœur …
Antigone de Jean de Rotrou Pour cette première chronique sur les œuvres théâtrales du domaine public, nous avons choisi de mettre …
Célie est amoureuse de Lélie, parti en voyage, mais son père veut la marier à un autre. Elle égare le portrait Lélie qui est ramassé par la femme de Sganarelle. Sganarelle pense alors que sa femme le trompe avec l'homme du portrait, alors que celle-ci le pense infidèle. Lélie, de son côté, est persuadé que Célie s’est mariée et qu'elle ne l’aime plus. Sganarelle veut se venger... Heureusement, la suivante de Célie dissipe les quiproquos et tout rentre dans l’ordre.
Monologue de Don Diègue, dans le Cid de Corneille (Acte I, scène 4) Don Diègue Ô rage ! Ô désespoir ! …
Tirade de Bérénice, Bérénice de Racine, acte I Scène 5 Le temps n’est plus, Phénice, où je pouvais trembler. Titus m’aime, …
Brutus qui a contribué à établir la République romaine en chassant le roi Tarquin, est menacé par une conspiration. Les deux fils de Brutus, Titus et Tibérinus, sont amoureux d'Aquilie, fille d'Aquilius, le chef des comploteurs. Tibérinus par conviction et Titus, par amour, rejoignent la conjuration, qui échoue, découverte par un esclave. Titus, rongé par le remords vient se dénoncer à son père. Brutus, à qui le Sénat a confié le soin de décider du sort de ses deux fils, prononce leur condamnation à mort.