Comédies

Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Dans un régiment de cavalerie principalement constitué de tire-au-flanc, le capitaine débonnaire Hurluret fait son possible pour protéger ses hommes contre la vindicte des petits chefs. Un général en tournée d’inspection découvre tous ces petits arrangements pris avec le règlement. Cette pièce donne lieu à une galerie de personnages pittoresques : brigadier inventant des motifs de punition (Bourre), chef faisant faire son travail (Favret),  brute galonnée, stupide et agressive (Flick), tire-au-flanc voleur (Fricot), un première classe qui se plaint de la nourriture (Joberlin), un bagarreur (Ledoux), une cantinière acariâtre (Madame Bijou), un jeune officier inexpérimenté (Mousseret), un réserviste joyeux drille (Potiron), un pauvre militaire qui écope des punitions les plus injustes (Vanderague)...

Une femme trompée vient conter ses malheurs chez une amie. Tout le dialogue est une alternance de pleurs déchirants et de remarques totalement futiles.

Moulineaux est médecin, il est marié et il a découché.  Sa femme, Yvonne, demande des explications. Moulineaux  qu'il a été toute la nuit au chevet de Bassinet, qui, manque de chance arrive pour lui demander un service. Bassinet cherche à louer un petit entresol, ancien atelier de couturière, qui ferait une excellente garçonnière... si la belle mère de Moulineaux ne le voulait pas également, et si le mari de sa maîtresse ne venait pas, lui aussi, avec sa propre maîtresse...

Alors qu'il est tranquillement en famille, entre sa femme et sa fille, M. Chatchignon, est poussé par son ami Turpin à un rendez-vous galant. Sa fille Louise  va tout faire pour l'empêcher de sortir en cachant ses chapeaux puis en simulant un mal de dents.

La Dame aux jambes d’azur d’Eugène Labiche Pochade en un acte d’Eugène Labiche et Marc-Michel, représentée pour la première fois sur …

Les Femmes savantes de Molière Pièce de théâtre en cinq actes et en alexandrins, créée au théâtre du Palais-Royal le 11 …

Le Baron se réjouit du retour de sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et de son fils de 21 ans, Perdican, qui vient de réussir son doctorat. Il veut les marier.  Perdican et Camille  se retrouvent après dix ans de séparation. Ils s'aiment depuis toujours, mais Camille, qui a subi l'influence des sœurs du couvent toutes victimes d'amours malheureuses, n'a pas confiance dans les hommes et veut  vouer sa vie à Dieu, bien qu'elle aime Perdican.

L’Invité ou Huit jours à la campagne de Jules Renard Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Théâtre de la …

La scène se passe à la poste. La Brige a reçu une lettre chargée d'un de ses amis. Cette lettre est à son nom mais adressée au ministère de l’Intérieur. Bien que l'employé connaisse la Brige qu'il a croisé chez les Crottemouillaud, il ne peut lui remettre la lettre car celui-ci doit justifier son identité. Malgré les différentes preuves qu'apporte la Brige, l'employé ne peut lui remettre la lettre.

Monsieur Chaponais, bourgeois hypocondriaque, a signé un contrat de 10 ans avec son médecin, Monsieur Martaban, pour qu’il le soigne quotidiennement. Martaban s’est installé dans l’appartement au-dessus de celui de Chaponais pour être plus proche de son malade. Ces messieurs sortent régulièrement, avec leurs épouses, aux spectacles de la vie parisienne. Mais M. Chaponais est tourmenté, au grand dam de son médecin : il a trouvé dans l’étui à lunettes de Ninette, sa femme, un petit mot doux du jeune Ernest de Pontfarcy.

Le conseil municipal est réuni car une épidémie de typhoïde commence à frapper les casernes et les quartiers pauvres de la ville. Totalement insensibles au sort des militaires et des pauvres, les conseillers refusent tous les crédits destinés à l’assainissement de la ville, jusqu'à ce qu'ils apprennent qu'un bourgeois vient de décéder de la fièvre. Les éloges grotesques à ce bourgeois anonyme se succèdent  et les crédits sont débloqués...

La scène représente un café. Au premier plan, Ratcuit et Labouture discutent de sciences occultes devant deux bocks à demi vidés. Au fond, attablée, une dame seule, plongée dans la lecture de l'Echo de Paris. Entre la dame qui lit L'Echo et le couple Ratcuit-Labouture, un billard, où deux messieurs, armés de queue et de craie, se livrent aux douceurs du carambolage. Ratcuit tente d'hypnotiser la femme et la forcer par la seule puissance de son regard à lever les yeux et à les amener sur lui.

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