Comédies

Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Recueil de saynètes et monologues.

Georges Feydeau divague sur l'élixir inventé par Brown-Séquard, en faisant intervenir notamment Louise Michel ou Jules Grévy.

n grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser, et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune et sa prodigalité rendent tout-puissant pour l’accomplir.

J'ai fait hier un rêve symbolique, dont je ne suis pas mécontent.

Le 1er janvier, un bourgeois nommé Landhouille établit la liste des étrennes qu’il a reçu (aucune) et celles qu'il a donné à quantité de fâcheux et de casse-pieds. Alors qu’il est au milieu de cet inventaire à la Prévert, d’autres importuns viennent avec insolence réclamer leur part : un cocher de l'"Urbaine"qui l’a renversé lors d’une course en fiacre,  un soldat qui se révèle l’amant de sa cuisinière,  Louison, son ancienne maîtresse, accompagnée "d'un monsieur bien mis".

Le juge chargé de l'enquête. En feuilletant les pièces du dossier je vois madame que vous alléguez notamment la réserve de votre mari. À quel endroit, cette réserve ?

Toutes ces saynètes et monologues ont pour sujet un "illustre écrivain" ou un "grand écrivain" et sont une satire féroce des pseudo-littérateurs, vaniteux et sans talent (Chez l'Illustre écrivain, Littérature), spécialistes dans la mise en scène des adultères (Une bonne affaire, Un grand écrivain).

Éraste est amoureux de Julie, mais le père de Julie, Oronte, souhaite la donner en mariage à un gentilhomme limousin, Monsieur de Pourceaugnac. Grâce à Nérine, une femme d'intrigues et le Napolitain Sbrigani, les deux amoureux vont tout mettre en œuvre pour faire échouer ce mariage.

Les Pieds nickelés de Tristan Bernard Comédie en un acte, représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de …

Comédie en cinq actes et en prose, représentée pour la première fois sur la scène du Palais-Royal le 9 septembre 1668.  Texte à télécharger sur Libre Théâtre, illustrations, dossiers pédagogiques, ressources sur l'INA

On veut réformer la Constitution ! C’est parfait ! je ne la connais pas, moi, cette Constitution ; mais il est évident qu’elle a besoin de réparations parce qu’il n’est pas de si bonne Constitution qui ne se détériore avec le temps. Alors il s’est agi de s’entendre. C’est pour cela qu’on a réuni le Congrès… et on n’a rien entendu du tout ! On a crié si fort, qu’il n’y a que les sourds qui ont entendu quelque chose, et que ceux qui entendaient en sont revenus sourds. Eh ! bien, pendant qu’on criait, je l’ai trouvé le remède ; je l’ai trouvé dans le journal. Pour les constitutions faibles, demander le fer Bravais ! Eh bien, voilà votre affaire ! le fer ! tout le monde aux fers ! C’est le seul moyen d’avoir un peuple libre et indépendant. Eh ! bien, alors, vling ! vlan ! réformons !

Une jeune fille est chassée du salon par sa mère, en discussion avec M. Montalon... elle est révoltée par cette situation et écoute à la porte mais n'entend pas très bien.

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