Comédies
Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Un fils accompagne sa mère à une visite et porte les pétunias qu'ils vont offrir. Il souffre du comportement de sa mère qui le ridiculise. Une récitante et un choeur commentent la situation.
Suis-je vraiment trop vieux... Monologue d'un homme qui se demande face à une jeune femme si il est vraiment trop vieux...
L'histoire d'un pauvre jeune homme, accusé du meurtre de sa tante
Un jeune diplomate épouse par ordre impérial une petite fille de quinze ans ; et, toujours par ordre impérial, il part pour Naples, sans avoir vu sa femme. Il reste cinq ans absent, et quand il est près de revenir, lajeune épouse à qui la correspondance suffisait à peine, va au-devant de son mari, et l'accompagne sans se faire reconnaître depuis Marseille jusqu'à Aix
Deux pêcheurs en eau claire de Tristan Bernard Comédie en un acte de Tristan Bernard représentée pour la première fois le 20 février 1931 au Théâtre Tristan-Bernard Le texte a été publié en une dans Candide (grand hebdomadaire parisien et littéraire), le 26 mars 1931 Deux pêcheurs discutent tranquillement. Leur amitié naissante risque d'être contrariée par la révélation de l'un deux : il vient de sortir de Fresnes.
Léonie est sur le point d'accoucher, avec un mois d'avance. Son mari, Monsieur Toudoux, subit reproches, de caprices et de mesquineries de la part de sa jeune épouse, de ses beaux-parents, les Champrinet qui avaient désapprouvé le mariage et de la sage-femme, la redoutable Madame Virtuel. Le malheureux époux doit même accepter de se coiffer d'un pot de chambre.
Après un long voyage autour du monde, le Capitaine Tic revient chez sa tante. Il tombe amoureux de sa cousine Lucile, qui vient d'être promise par son tuteur Désambois à un triste pharmacien Magis. Le Capitaine Tic a le coup de botte facile et va devoir se contenir pour écarter ce rival.
Le papa de la petite Cécile ne veut pas aider à payer le loyer de son vieux maître de danse. Qu'à cela ne tienne, Cécile va collecter l'argent nécessaire en organisant un grand bal, sans prévenir son cher père, qui voit arriver dans son salon orchestre et invités, alors qu'il est en robe de chambre et a ôté sa perruque...
Chou, le moment est arrivé d'une explication catégorique. Depuis huit jours tu me fais la tête ; je commence à en avoir assez. (Geste de dénégation de Madame.) Oh ! inutile de te défendre. En somme, tu es femme. tu es jeune, tu es… eh ! eh ! (Il regarde d'un œil attendri le peignoir légèrement bombé par devant de Madame) … Chère petite !… (Il lui baise la main.) Tu as donc tous les droits du monde aux faciles dépits et aux petites mauvaises humeurs des enfants un peu trop gâtés. Je désire toutefois qu'aucun malentendu ne trouble notre bonne entente. Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur, j'ai la certitude de n'avoir rien fait ni dit qui justifie un mécontentement de ta part, et cependant, je te le te répète, tu me fais la tête ! Pourquoi ?
Oscar de Proutrépéto est un gigolo. Pour la fête d'Isabeau, il décide de lui faire un cadeau : il lui achète des babouches.
Thibeaudier, le premier des Deux Timides, n'a jamais pu vaincre sa timidité ; s'étant engagé vis-à-vis d'un certain Anatole Garadoux , qui lui a été présenté par son notaire, il ne peut se résoudre à lui retirer la main de sa fille Cécile, aimé de Jules Frémissin, le second timide. Si l'un n'ose formuler sa demande, l'autre craint à tout moment qu'il ne la fasse ; Cécile ne peut les faire rester deux minutes ensemble, et cette situation pourrait durer longtemps si la jeune fille ne s'avisait d'avouer à chacun d'eux la timidité de l'autre. Alors devant un pareil aveu ils se redressent et s'abordent fièrement, pareils à deux poltrons échauffés... et Jules obtient la main de Cécile
Les Affaires sont les affaires d’Octave Mirbeau Comédie en trois actes, créée le 20 avril 1903 à la Comédie-Française. Texte intégral à …