Comédies

Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Lucie de George Sand Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Gymnase-Dramatique le 16 février 1856. Distribution : …

Le Misanthrope de Molière Comédie en cinq actes et en vers, représentée pour la première fois le 4 juin 1666 sur …

La Dispute de Marivaux Comédie en un acte et en prose représentée pour la première fois par les comédiens Français, le 19 Octobre 1744

Une histoire de belle-mère qu'on "wagnérise" à l'Hôtel Colonne, que l'on donne pour morte, mais qui reprend vie alors que son cercueil est commandé... Le cercueil est alors transformé en malle, qui sera prise pour le cercueil d'un anarchiste...

L'huissier-audiencier, appelant. Le ministère public contre Le Gasteux de la Roche Tarpéienne !

Des monologues ! a-t-on idée de cela ! Si j’étais la préfecture de police, je les défendrais ! C’est faux ! Archi-faux ! Un homme raisonnable ne parle pas tout seul ; il pense, et alors il ne parle pas ! C’est ce qui le distingue des fous qui parlent et qui ne pensent pas. Admettre le monologue, c’est rabaisser l’humanité ! On devrait le défendre ! cela me rend malade !

Le député Ventroux doit recevoir un important industriel, M. Hochepaix, par ailleurs maire de Moussillon-les-Indrets et adversaire politique. Il tente de convaincre sa femme, Clarisse, d'arrêter de se promener en tenue légère dans l'appartement comme elle en a pris l'habitude.  Il ne cesse de lui répéter "Mais n’te promène donc pas toute nue !".

Grandeur d’âme de Georges Courteline Extrait des Ombres parisiennes. Distribution : 3 hommes (et figurants) Texte à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre Une …

L’Impromptu de Versailles de Molière Comédie en un acte, représentée la première fois à Versailles pour le Roi, le 14e octobre …

Monsieur Codomat de Tristan Bernard Monsieur Codomat de Tristan Bernard, comédie en trois actes, représentée pour la première fois le 17 …

Lenglumé se réveille avec une gueule de bois et trouve dans son lit un homme dans le même état, Mistingue. Ils se souviennent seulement d'avoir participé la veille au dîner organisé par l’institution Labadens dont ils étaient tous deux élèves. Au cours du déjeuner, Norine, la femme de Lenglumé, leur lit un article sur  le meurtre d'une jeune charbonnière, retrouvée dans la rue de Lourcine. Lenglumé et Mistingue craignent d'être les meurtriers, car plusieurs détails sont troublants.

Chou, le moment est arrivé d'une explication catégorique. Depuis huit jours tu me fais la tête ; je commence à en avoir assez. (Geste de dénégation de Madame.) Oh ! inutile de te défendre. En somme, tu es femme. tu es jeune, tu es… eh ! eh ! (Il regarde d'un œil attendri le peignoir légèrement bombé par devant de Madame) … Chère petite !… (Il lui baise la main.) Tu as donc tous les droits du monde aux faciles dépits et aux petites mauvaises humeurs des enfants un peu trop gâtés. Je désire toutefois qu'aucun malentendu ne trouble notre bonne entente. Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur, j'ai la certitude de n'avoir rien fait ni dit qui justifie un mécontentement de ta part, et cependant, je te le te répète, tu me fais la tête ! Pourquoi ?

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