Pièces de théâtre du XIXe siècle
Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Le théâtre d’Edmond Rostand Tout le théâtre d’Edmond Rostand est disponible sur Libre Théâtre. Cyrano de Bergerac (1897) Comédie héroïque en …
Laurence se prépare à prendre son bain. Mais elle a un malaise, y renonce et va se coucher. La bonne, Adélaïde, ne veut pas laisser perdre cette eau tiède et décide de profiter de l’aubaine. Mais le mari, que sa maîtresse n’a pas pu recevoir ce soir-là, rentre prématurément et trouve le bain dans lequel il décide aussi de se plonger…
Tirade de Dona Lucrezia dans Lucrèce Borgia (Acte II, Première Partie, Scène 2) Dona Lucrezia, entrant avec impétuosité. Monsieur, monsieur, ceci est …
Le baron Courtin est un sénateur bonapartiste d'opposition et académicien, auteur de nombreux ouvrages sur la charité chrétienne. Il préside un foyer charitable pour adolescentes. Plusieurs scandales le menacent : il a détourné l'argent du Foyer, la directrice sadique flagelle les pensionnaires, parfois sous le regard de vieux messieurs, et une fillette vient de décéder, oubliée dans un placard. Pour échapper à la prison et à la ruine, Courtin se résout à demander de l'aide à l’ancien amant de sa femme Thérèse, Biron, qui lui propose un marché. Biron récupère de manière indirecte le Foyer, pour exploiter encore davantage le travail des fillettes. Contre le silence de Courtin dans un débat important à la Chambre, le gouvernement ne le poursuit pas. Enfin, Thérèse se dévouera pour renouer avec son ancien amant.
Un groupe d'amis de La Ferté-sous-Jouarre a accumulé une cagnotte à force de jouer. Ils décident de dépenser cette cagnotte lors un voyage à Paris. Mais ces provinciaux ne connaissent pas les usages de la grande ville et le voyage se transforme en une série de catastrophes, provoquées par leur naïveté : ils sont victimes d'une arnarque au restaurant, accusés de vol et arrêtés par la police, dépouillés de leurs achats... Labiche propose dans cette comédie-vaudeville, une satire du bourgeois provincial en dénonçant les faux-semblants et la cupidité.
La Parisienne de Henry Becque Comédie en trois actes et en prose, représentée pour la première fois à Paris sur le …
L’Âne et le ruisseau d’Alfred de Musset Comédie en un acte d’Alfred de Musset, écrite en 1855 et éditée après la …
Louison d’Alfred de Musset Comédie en deux actes et en vers représentée pour la première fois au Théâtre-Français le 22 février …
Le Démon du Foyer de George Sand Comédie en deux actes représentée pour la première fois au Gymnase-Dramatique le 1er septembre …
Séraphine Pommeau est une jeune femme, belle et coquette, épouse d'un maître clerc plus âgé, honnête et modeste. Leur appartement est très richement décoré et les toilettes de Séraphine, très élégantes : c'est grâce à son ingéniosité pour dénicher de bonnes affaires pense son mari. Thérèse Lecarnier, pupille élevée par Pommeau, craint que les dépenses de Séraphine ne ruinent le clerc. En réalité, Séraphine se fait entretenir par son amant, qui n'est autre que Léon Lecarnier, le mari de Thérèse.
Célimare, séducteur bourgeois et hypocrite de 47 ans, décide de se ranger en épousant Emma, une jeune fille qui a 18 ans. Mais les maris de ses anciennes conquêtes, Vernouillet et Bocardon, qu'il avait amadoués pour mieux les tromper, sont toujours sous son charme, et lui compliquent sérieusement et bien involontairement l'existence.
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l'Académie d'Etampes, et propriétaire d'une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu'il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l'académicien d'Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu'on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n'épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c'est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c'est que ce fils n'est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s'habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l'endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.