Pièces de théâtre du XIXe siècle
Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Le couple et la famille dans l’œuvre de Courteline Courteline propose à travers ses saynètes, des tranches de vie réalistes, souvent …
Barberine d’Alfred de Musset Éditée en 1835 pour la première fois en deux actes, sous le titre La Quenouille de Barberine, …
Georges Feydeau divague sur l'élixir inventé par Brown-Séquard, en faisant intervenir notamment Louise Michel ou Jules Grévy.
Le premier acte se déroule dans le bureau-magasin de vente du garage Grosbois. Le mécanicien Etienne a un rêve : celui de participer à une course automobile. Il est amoureux de Gabrielle, la nièce de la patronne (en réalité sa fille). Rudebeuf, le fameux constructeur automobile est également tombé amoureux de Gabrielle et propose un marché : Etienne pourra courir sur sa voiture si il lui laisse Gabrielle. Mais Etienne refuse tout net, d'autant plus que Gabrielle et lui se sont mariés en cachette.... Arrive Le Brison, également un constructeur automobile qui propose à Etienne de courir, poussé par sa maîtresse Phèdre, qui a le béguin pour Etienne...
Maître Favilla de George Sand Drame en trois actes et en prose, représenté pour la première fois le 15 septembre 1855 …
Monsieur et Madame Veauluisant ont décidé de renvoyer la nourrice Justine à cause de la légèreté de ses mœurs, et de la remplacer par une autre. Un jeune clerc de notaire, Balivet, amoureux de Justine, arrive et essaie de la séduire. Mais le domestique Médard le surprend et menace de le tuer. Le clerc de notaire se réfugie dans la chambre de Justine et en ressort habillé en nourrice.
M. Pommade pêche tranquillement au bord de l'eau : il attrape un poisson puis le remet aussitôt à l'eau. M Garrigou arrive pour pêcher également ...
Deux hommes se présentent chez La Citoyenne Marie pour l'épouser. La veille, celle-ci a passé une annonce : elle cherche un homme de paille en vue des prochaines élections (la présidence du Parti Radical-Libéral-Social)... La porte est ouverte, Marie n'est pas là : les deux prétendants Farlane et Salmèque vont se prendre réciproquement pour La Citoyenne. Ils se charment, se flattent, et finissent par se demander en mariage.
A Naples, le jeune Célio est amoureux de Marianne, épouse du juge Claudio. Il n'ose l'aborder et fait appel à Pippo, son valet puis à son ami Octave, cousin du mari de Marianne, un jeune homme, bon vivant et libertin. Celle-ci continue de refuser ses avances. Alors qu'elle est irréprochable, son mari Claudio la menace. Pour se venger, Marianne revoit alors Octave, tombe amoureuse et lui avoue à demi-mot son amour. Elle lui donne rendez-vous.
Trébuchard lorsqu'il était étudiant a dû épouser sa logeuse, la veuve Arthur, pour pouvoir payer ses nombreuses dettes. Quand la pièce commence, il a 29 ans ; la veuve est morte en lui laissant un petit héritage et la charge de sa fille Blanche, née d'un premier lit. Trébuchard voudrait épouser la jeune Claire Prudenval, mais il ne lui a pas avoué qu'il avait une fille... de 48 ans. Claire et son père arrivent chez Trébuchard.
Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l'abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l'exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l'art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l'hôtel, à condition qu'il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n'a d'autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l'hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d'abord de l'air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin.
L'huissier-audiencier, appelant. Le ministère public contre Vaufroy ! (Vaufroy sort du fond du prétoire et prend place au banc des prévenus.) Le président. Vaufroy, levez-vous. Vous êtes prévenu d'outrages à un agent de la force publique. Vous l'auriez traité de « gâteux ». Vous reconnaissez le fait ?