Pièces de théâtre du XIXe siècle
Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger.
Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.
Farces et Moralités d’Octave Mirbeau Mirbeau fait jouer entre 1894 et 1904 six petites pièces en un acte, recueillies ensuite dans …
André del Sarto d’Alfred de Musset Drame en deux actes et en prose. Une première version a été publiée en 1833 qui …
Paris, Gare de Lyon, vers 1860. M. Perrichon, sa femme et sa fille Henriette, prennent pour la première fois le train, pour aller en vacances à Chamonix. Ils sont abordés par deux jeunes hommes, Armand Desroches et Daniel Savary, charmés par la fille de M. Perrichon, qu'ils ont rencontrée lors d'un bal. Une lutte loyale mais acharnée commence entre les deux jeunes hommes, chacun voulant faire route avec la famille Perrichon pour gagner sa confiance et épouser ainsi Henriette.
Vous n’avez jamais vu d’idiots, vous ? Eh bien ! regardez-moi !… J’en ai vu comme vous n’en verrez jamais !
Dialogue épicé entre Chichinette la maîtresse de maison et Eponine, sa bonne : la bouteille de Madère est vide, alors que la veille il en restait un tiers.
Monsieur et Madame Veauluisant ont décidé de renvoyer la nourrice Justine à cause de la légèreté de ses mœurs, et de la remplacer par une autre. Un jeune clerc de notaire, Balivet, amoureux de Justine, arrive et essaie de la séduire. Mais le domestique Médard le surprend et menace de le tuer. Le clerc de notaire se réfugie dans la chambre de Justine et en ressort habillé en nourrice.
Un homme fait la lecture à sa femme et saute de temps en temps une page...
Lucie, la nièce de Blanche, femme du marquis de Papaguanos, va épouser Gargaret. Mais elle aime le jeune Albert. Or, Muserolle, le témoin de Gargaret, avait été trompé par sa femme dix ans auparavant et c'est Gargaret qui avait prévenu Muserolle, brisant ainsi son couple. Muserolle est confronté à un dilemme moral : doit-il le dire ? Il découvre de plus que Blanche n'est autre que sa femme !
L’Intervention de Victor Hugo Comédie en cinq scènes et en prose, écrite en 1866, publiée en 1951. Cette pièce est aujourd’hui incluse …
La Navette de Henry Becque Comédie en un acte, représentée pour la première fois, à Paris, sur le théâtre du Gymnase, …
Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l'abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l'exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l'art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l'hôtel, à condition qu'il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n'a d'autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l'hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d'abord de l'air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin.
