Pièces de théâtre du XIXe siècle

Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger. 

La Maîtresse de Jules Renard Comédie parue en plusieurs épisodes dans le Rire, du 16 novembre 1895 au 4 janvier 1896, …

Lucrèce Borgia de Victor Hugo Drame en trois actes et en prose, représenté pour la première fois au Théâtre de la …

Alors qu'il veut enregistrer un message pour le mariage de sa sœur, Chanal reçoit la visite de Massenay qui veut lui louer un pied à terre. En réalité, il est l'amant de sa femme, dont est aussi amoureux le député Coustouillu. L'enregistreur restitue au mari les propos passionnés des deux amants. Chanal croit qu'il s'agit du timide député Coustouillu et l'envoie consommer l'adultère 21 rue du Colisée, où se trouvent Madame Chanal et son amant. Ceux-ci se sont endormis trop longtemps et se trouvent en situation délicate vis-à-vis de leurs conjoints respectifs. Survient Hubertin, ami de Chanal, qui, dans son ivresse, s'est trompé d'appartement. Finalement, maris trompés, amants et femmes trouvent des arrangements : divorces et remariages... jusqu'à ce que l'ancien mari réapparaisse, et que la nouvelle Mme Massenay affirme à son ancien mari Chanal : "Ah ! Je n’ai pas su t’apprécier, vois-tu… Si les maris pouvaient laisser leurs femmes avoir un ou deux amants pour leur permettre de comparer, il y aurait beaucoup plus de femmes fidèles ! …"

Marcassol est propriétaire d'un immeuble. Parmi ses locataires il y a Trémollet, dont l'agence matrimoniale bat de l'aile et Sonia Kaskoff, dont Marcassol est épris et pense qu'il a pris la place de Lagaulardière. Marcassol, après un an de mariage, est lassé par sa femme, Clarisse, qui a changé. D'une femme "originale, capricieuse, fantasque", elle s'est transformé en "mouton, un pot-au-feu !".

Courteline, les employés et les fonctionnaires Courteline propose à travers ses saynètes, des tranches de vie réalistes, souvent cruelles mais toujours …

Ecoute, Toto. Tu sais que ce soir nous donnons un grand dîner. Nous aurons pas mal de personnes et notamment le général Suif, qui a eu le nez enlevé d'un coup de sabre, au Tonkin. Or, comme tu ne manquerais pas de t'écrier : « oh!c'nez ! » en apercevant le général, Toto, je te préviens d'une chose si tu dis un mot, un seul mot relativement au nez du général Suif, c'est à moi que tu auras affaire.

Recueil de saynètes et monologues.

Il est extraordinaire que cette fille ne revienne pas. Voilà au moins vingt-minutes qu'elle est partie aux cabinets en me disant de me mettre au lit. Je commence à être inquiet. Aurais-je agi à la légère en lâchant les vingt francs d'avance ?

Tout le monde sait que les bêtes du Jardin des Plantes sont insuffisamment nourries.

On ne saurait penser à tout d’Alfred de Musset Proverbe en un acte et en prose, publié en 1849 et représenté …

Un journaliste vient interviewer un marchand de vin : une charge contre l'alcoolisme, avec un premier dialogue mettant en scène le marchand de vin et une mère de famille pauvre et alcoolique, contre la presse à scandale et contre les théories absurdes de Cesare Lombroso sur le "criminel né".

Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d'hiver. C'est son jour de réception mais il est l'unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour.  Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s'achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer.

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