Vaudevilles
Vaudevilles présents dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Dans un cabinet particulier au Café Anglais, une mystérieuse femme masquée se retrouve avec deux hommes, Fauconnet et Gentillac, dans l’alcôve d’un cabinet particulier… mais rien ne se déroule comme ils l'avaient imaginé...
Un vaudeville ferroviaire qui se déroule successivement dans un administration des chemins de fer où des actionnaires attendent de percevoir leurs dividendes, un quai d'embarquement, le buffet d'une gare, une chambre d'un hôtel garni et le bureau du chef de gare... Tapiou occupe successivement les fonctions de caissier, graisseur de wagons, employé des chemins de fer, cuisinier... Il accompagne les pérégrinations de Ginginet, sa femme Clémence, sa bonne Colombe et sa nièce anglaise Jenny qui vont en Alsace afin de célébrer le mariage de Jenny et du caissier Lucien Faillard.
Eugène, pharmacien à Loches, son frère, et sa soeur, sont montés à Paris pour tenter de se marier. Pensant être dans une agence matrimoniale, ils débarquent dans un bureau de placement et sont recrutés comme domestiques chez le Docteur Saint Galmier, directeur du Louvre-Hydrothérapique, premier établissement de Paris pour le traitement des maladies nerveuses. Ils prennent le docteur, sa soeur et sa fiancée pour leurs promis. L'irruption de Michette, l'ancienne maîtresse du docteur ajoute aux quiproquos, tandis que Saint Galmier prend ces drôles de domestiques pour des fous échappés de l'asile.
Henriette de Tréville, jeune veuve, a organisé un bal et espère que Monsieur de Neyriss lui demandera sa main. Sa cousine Valentine, innocente jeune fille, arrive en avance pour lui révéler qu’elle est amoureuse. Elles parlent d’amour et de leurs futurs époux. Quand Valentine dévoile le nom de son prétendant, Henriette découvre qu’il s’agit du même homme. Mais le journal annonce le prochain mariage de Monsieur de Neyriss avec une riche héritière. Les deux femmes se réconcilient.
Alors qu'il veut enregistrer un message pour le mariage de sa sœur, Chanal reçoit la visite de Massenay qui veut lui louer un pied à terre. En réalité, il est l'amant de sa femme, dont est aussi amoureux le député Coustouillu. L'enregistreur restitue au mari les propos passionnés des deux amants. Chanal croit qu'il s'agit du timide député Coustouillu et l'envoie consommer l'adultère 21 rue du Colisée, où se trouvent Madame Chanal et son amant. Ceux-ci se sont endormis trop longtemps et se trouvent en situation délicate vis-à-vis de leurs conjoints respectifs. Survient Hubertin, ami de Chanal, qui, dans son ivresse, s'est trompé d'appartement. Finalement, maris trompés, amants et femmes trouvent des arrangements : divorces et remariages... jusqu'à ce que l'ancien mari réapparaisse, et que la nouvelle Mme Massenay affirme à son ancien mari Chanal : "Ah ! Je n’ai pas su t’apprécier, vois-tu… Si les maris pouvaient laisser leurs femmes avoir un ou deux amants pour leur permettre de comparer, il y aurait beaucoup plus de femmes fidèles ! …"
Le vaudeville et Feydeau, à travers deux articles de Georges Feydeau 1. Article de Georges Feydeau, publié à la Une du Matin, le …
Mme de Brée, jeune veuve richement dotée, va se marier avec son cousin Chabriac, homme rustre et cupide. Valory, un jeune avocat va mettre en œuvre un stratagème pour faire échouer ce mariage : voler dans le bureau de Mme de Brée les 300 000 francs afin que Chabriac renonce au mariage. Tout ne se passe pas comme prévu car Chabriac se rend aussi secrètement dans la même pièce...
Gaudiband et Blancafort sont des voisins ennemis. Ils se sont déclarés la guerre pour des questions de noisetiers aux feuillages envahissants, de chats dont les miaulements sont insupportables, de statues antiques trop dénudées, de pigeons barbares… Un ami de Gaudiband, Gatinais essaie de régler ce conflit et pour se débarrasser du chat miauleur, il tire discrètement sur l’animal ...mais blesse un homme. Edgar, filleul de Gaudiband, jeune avocat promis à la fille de Gatinais, décide de mener l'enquête pour confondre le coupable de cette tentative de meurtre.
Les amies d'Isoline envahissent son appartement dès que Florimon quitte les lieux : solliciteuse, grisette, femme de lettres, modèle... elles sont pleines d'esprit mais sans argent. Deux d'entre elles ont donné des rendez-vous chez Isoline à de jeunes nobles, qui vont s'avérer tout aussi désargentés qu'elles. Arrivent aussi Mme Guenuchaud qui veut se faire payer ses loyers en retard et Mme Malabar, marchande à la toilette.
Pour faire fonctionner sa petite entreprise, Mme Ménachet, ingénieuse logeuse, a trouvé moyen de louer la même chambre à deux personnes qui ne se connaissent pas : Frisette est ouvrière en dentelles et travaille la journée alors que Gaudrion est boulanger et travaille la nuit… Tout fonctionne pour le mieux, jusqu’au jour ou l’un et l’autre se retrouvent face à face découvrant ainsi la supercherie… Ils ont été victimes tous les deux d'aventures amoureuses qui se sont mal terminées et ne sont pas prêts à faire confiance à une personne de l'autre sexe.
Monsieur Montaudoin marie sa fille Fernande à Isidore, mais il est anxieux. Depuis la naissance de sa fille, tous les jours quelqu'un lui dérobe la somme insignifiante de 37 sous, jamais ni plus ni moins. Avec l'aide de son ami Penuri, il veut résoudre cette énigme. Quant à la femme de Montaudoin, elle désire attribuer une dot supplémentaire de 13 505 francs, mais sans que son mari n'en connaisse la provenance. Aussi elle confie l'argent à Penuri afin qu'il offre lui-même cette somme. Alors que celui-ci s'exécute, Montaudoin pense alors que son ami a eu une aventure avec son épouse et qu'il est le père de Fernande...
Le Major Cravachon veut marier sa fille Olympe. Il souhaite, pour celle-ci, un mari à la hauteur et ne cesse de mettre à la porte le moindre prétendant. Pour savoir ce qui se passe lors des rencontres entre son père et les jeunes hommes qui se présentent, Olympe demande à Amélie, une amie, de se faire passer pour un prétendant. Se présente également devant le Major Cravachon le jeune Dervièves, au caractère tempétueux qu'il tente de dompter pour plaire à Olympe.
