Pièces en 1 acte

Œuvres théâtrales en 1 acte, présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Pendant une absence de son épouse, Hector reçoit la visite de sa voisine d’en face, Emma, venue solliciter son aide. Pour donner une leçon à son mari, elle demande à son interlocuteur de lui faire la cour devant la fenêtre ouverte. Hector hésite à s’exécuter. Mais soudain Emma aperçoit son époux en tête à tête avec une inconnue. Elle sort rapidement, « pour lui arracher les yeux ». Hector croit alors reconnaître dans cette femme sa propre épouse et, désireux de se venger, il attend le retour d’Emma, prêt, cette fois, à satisfaire à tous ses caprices. Cependant, sa visiteuse, revenue, lui explique que l’inconnue n’était autre que la nouvelle bonne ; renvoyée de chez Hector, elle avait revêtu la robe dont sa maîtresse lui avait fait présent..

Les Chameroy ont plus de trois millions de fortune, mais ils semblent créés pour justifier cet aphorisme que, pour certaines personnes, il est plus difficile de dépenser son argent que de le gagner. Dans ce nid de fourmis où il y a naturellement une jeune fille charmante à marier, s'introduit une cigale sous la forme de Vérac, un jeune homme plus ou moins inutile et quelconque.

Un vieux couple se déchire dans un face à face haineux. Les personnages sont ainsi décrits par Mirbeau : Le Mari, soixante-cinq ans, grand, maigre. Figure sèche et sanguine dans des favoris grisonnants et durs. La tenue et l’allure d’un ancien magistrat. La Femme, soixante ans. Infirme, presque paralysée, énorme, les cheveux tout blancs. Visage bouffi de graisse maladive La Femme de chambre, jeune, jolie, effrontée.

Un journaliste vient interviewer un marchand de vin : une charge contre l'alcoolisme, avec un premier dialogue mettant en scène le marchand de vin et une mère de famille pauvre et alcoolique, contre la presse à scandale et contre les théories absurdes de Cesare Lombroso sur le "criminel né".

Le notaire Bousseronde et le pharmacien Pigeonnier sont amis. C'est jour de la loue dans le Nivernais, le jour du marché aux domestiques. Le notaire Bousseronde a fort à faire et en profite pour recruter deux domestiques Legaloux et La Birette. Ceux-ci découvrent qu'ils ont déjà travaillé dans la même maison parce qu'ils ne s'entendaient pas... mais de la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas. Ils profiteront de la situation, car si Bousseronde et Pigeonnier sont amis, ils entretiennent une liaison, chacun avec la femme de l'autre.

L’Invité ou Huit jours à la campagne de Jules Renard Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Théâtre de la …

Une femme trompée vient conter ses malheurs chez une amie. Tout le dialogue est une alternance de pleurs déchirants et de remarques totalement futiles.

L’Épée de Victor Hugo Drame en 5 scènes et en vers. Ecrit en 1869, ce drame fait partie du recueil Théâtre …

M. Dumoncel, associé du banquier Lefebvre, est, malgré cette profession bourgeoise et la blancheur peu africaine de son teint, un véritable Othello en frac et en pantalon noirs. II est jaloux comme plusieurs tigres du Bengale de sa femme qu'un sylphe mystérieux parfume chaque jour d'un bouquet de violettes de Parme.

Le papa de la petite Cécile ne veut pas aider à payer le loyer de son vieux maître de danse. Qu'à cela ne tienne, Cécile va collecter l'argent nécessaire en organisant un grand bal, sans prévenir son cher père, qui voit arriver dans son salon orchestre et invités, alors qu'il est en robe de chambre et a ôté sa perruque...

René va bientôt épouser Germaine. Malheureusement le nom de sa mère, Mme de Sorges, "a été calomnié indignement par un journaliste infâme… un de ces écrivassiers tarés qui trouvent un renom facile en versant le venin sur tout ce qu’il y a de saint et de respectable". René doit se battre en duel pour laver l'honneur de sa mère.

Monsieur Montaudoin marie sa fille Fernande à Isidore, mais il est anxieux. Depuis la naissance de sa fille, tous les jours quelqu'un lui dérobe la somme insignifiante de 37 sous, jamais ni plus ni moins. Avec l'aide de son ami Penuri, il veut résoudre cette énigme. Quant à la femme de Montaudoin, elle désire attribuer une dot supplémentaire de 13 505 francs, mais sans que son mari n'en connaisse la provenance. Aussi elle confie l'argent à Penuri afin qu'il offre lui-même cette somme. Alors que celui-ci s'exécute, Montaudoin pense alors que son ami a eu une aventure avec son épouse et qu'il est le père de Fernande...

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