Monologues

Monologues pour un comédien ou une comédienne présents sur Libre Théâtre (texte intégral)

 

Complainte du pauv’ propriétaire de Georges Feydeau Dernier monologue écrit par Feydeau en 1916 et publié en 1916 à la Librairie …

Non, mais c’est si simple ! Vous voulez être riche ? Soyez économe ! Je l’ai été toute ma vie, moi ! Aussi, aujourd’hui, j’ai une grosse fortune, je suis très heureux : je me refuse tout. Et quand je mourrai, eh bien ! j’aurai beaucoup d’argent… Enfin, voyons ! ça n’est pas l’idéal, ça ?

Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.

Une jeune fille de 17 ans poste un billet à son amoureux "Ernest, enlevez-moi !"... elle commence à rêver puis finit par se demander si tout cela est bien raisonnable...

Plumard, mari trompé de Pépita, décide de faire venir la police pour constater les faits. Taupinier, l'amant, arrive, mais Pépita le renvoie chercher le journal et une broche en forme de chien qu'elle a égarée la veille. Arrive Lemercier, un instituteur qui pense avoir trouvé le « chien » de Pépita. Taupinier revient avec le journal dans lequel on parle d'un dangereux tueur qui ressemble étrangement à Lemercier.

J'ai fait hier un rêve symbolique, dont je ne suis pas mécontent.

L'histoire d'un pauvre jeune homme, accusé du meurtre de sa tante

Féru d'amour pour la petite Machinchouette du théâtre des Douces-Folies, où elle faisait le troisième coléoptère dans le ballet des insectes du Chat-Echaudé, je résolus de prendre exemple sur le capitaine Fracasse et de parvenir par le cabotinage jusqu'au cœur de celle que j'aimais.

Vous n’avez jamais vu d’idiots, vous ? Eh bien ! regardez-moi !… J’en ai vu comme vous n’en verrez jamais !

Les mésaventures d'un pauvre volontaire, qui n'a pas tout à fait compris aux principes militaires...

Et dire qu’il y a trois jours, j’étais un simple bijoutier inoffensif, et du jour au lendemain, parce que le sort me désigne, me voilà le maître souverain des destinées humaines… souverain au douzième bien entendu…, puisque nous sommes douze ! Mais enfin - tout ça au prorata - je puis à mon gré, suivant que j’ai bien ou mal dîné, suivant que la tête du sujet me plaît ou ne me plaît pas, faire vivre ou mourir tel individu qui tremble devant moi. Je suis juré aux assises de la Seine !

La leçon de vélo de Tristan Bernard par Georges Courteline

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