Monologues

Monologues pour un comédien ou une comédienne présents sur Libre Théâtre (texte intégral)

 

Vous n’avez jamais vu d’idiots, vous ? Eh bien ! regardez-moi !… J’en ai vu comme vous n’en verrez jamais !

C’est le trouble, l’inquiétude, Un tracas de tous les instants ! Tout, sans espoir de gratitude… A quoi ça sert-il, les Enfants ?

Les mésaventures d'un pauvre volontaire, qui n'a pas tout à fait compris aux principes militaires...

La leçon de vélo de Tristan Bernard par Georges Courteline

Une jeune fille est chassée du salon par sa mère, en discussion avec M. Montalon... elle est révoltée par cette situation et écoute à la porte mais n'entend pas très bien.

L'histoire d'un pauvre jeune homme, accusé du meurtre de sa tante

Suis-je vraiment trop vieux... Monologue d'un homme qui se demande face à une jeune femme si il est vraiment trop vieux...

Une histoire de belle-mère qu'on "wagnérise" à l'Hôtel Colonne, que l'on donne pour morte, mais qui reprend vie alors que son cercueil est commandé... Le cercueil est alors transformé en malle, qui sera prise pour le cercueil d'un anarchiste...

une Avignonnaise part à l'enterrement de son oncle à Marseille, sans son mari. Elle se trompe de train et se retrouve à Paris, aux Antipodes... Sa naïveté la mènera dans une loge de concierge parisienne, au théâtre puis à l’Elysée-Montmartre (qu'elle confond avec l'Elysée) et enfin au Grand-Hôtel, accompagnée par un "ami de son mari".

Non, mais c’est si simple ! Vous voulez être riche ? Soyez économe ! Je l’ai été toute ma vie, moi ! Aussi, aujourd’hui, j’ai une grosse fortune, je suis très heureux : je me refuse tout. Et quand je mourrai, eh bien ! j’aurai beaucoup d’argent… Enfin, voyons ! ça n’est pas l’idéal, ça ?

Impossible d'acheter quoi que ce soit avec une grosse coupure... ni tabac, ni violette pour faire plaisir à Ninette...

"Les hommes sont bêtes, bêtes, bêtes, ne m’en parlez pas ! tenez, je souffre. Ah ! Pascal a bien dit : « L’homme est un roseau ! » Oui, un roseau, c’est-à-dire une chose bête, bête, bête. Ah ! c’est que Pascal était un homme crâne, lui, avec son air de bon apôtre ! Je ne sais pas pourquoi l’on dit toujours « l’Agneau Pascal ! » Ne vous y fiez pas !

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