Monologues

Monologues pour un comédien ou une comédienne présents sur Libre Théâtre (texte intégral)

 

Le Dernier Jour d’un Condamné de Victor Hugo Ce texte a été publié en février 1829 sans nom d’auteur. Il a …

Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.

La leçon de vélo de Tristan Bernard par Georges Courteline

Non, mais c’est si simple ! Vous voulez être riche ? Soyez économe ! Je l’ai été toute ma vie, moi ! Aussi, aujourd’hui, j’ai une grosse fortune, je suis très heureux : je me refuse tout. Et quand je mourrai, eh bien ! j’aurai beaucoup d’argent… Enfin, voyons ! ça n’est pas l’idéal, ça ?

Des monologues ! a-t-on idée de cela ! Si j’étais la préfecture de police, je les défendrais ! C’est faux ! Archi-faux ! Un homme raisonnable ne parle pas tout seul ; il pense, et alors il ne parle pas ! C’est ce qui le distingue des fous qui parlent et qui ne pensent pas. Admettre le monologue, c’est rabaisser l’humanité ! On devrait le défendre ! cela me rend malade !

Vous n’avez jamais vu d’idiots, vous ? Eh bien ! regardez-moi !… J’en ai vu comme vous n’en verrez jamais !

Complainte du pauv’ propriétaire de Georges Feydeau Dernier monologue écrit par Feydeau en 1916 et publié en 1916 à la Librairie …

- Chou ! cria Monsieur à Madame allongée à son côté, puisque tu as fini de le lire, passe-moi donc l'Echo de Paris, que je voie un peu les nouvelles.

"Les hommes sont bêtes, bêtes, bêtes, ne m’en parlez pas ! tenez, je souffre. Ah ! Pascal a bien dit : « L’homme est un roseau ! » Oui, un roseau, c’est-à-dire une chose bête, bête, bête. Ah ! c’est que Pascal était un homme crâne, lui, avec son air de bon apôtre ! Je ne sais pas pourquoi l’on dit toujours « l’Agneau Pascal ! » Ne vous y fiez pas !

une Avignonnaise part à l'enterrement de son oncle à Marseille, sans son mari. Elle se trompe de train et se retrouve à Paris, aux Antipodes... Sa naïveté la mènera dans une loge de concierge parisienne, au théâtre puis à l’Elysée-Montmartre (qu'elle confond avec l'Elysée) et enfin au Grand-Hôtel, accompagnée par un "ami de son mari".

Hein ? Vous croyez que je ris ? Je suis furieux ! Ces professeurs, quels crétins ! Si jamais je suis ministre, je les supprime ! Vous ne savez pas ce qui m'arrive ? Mon professeur me demande ma leçon ; je n'en savais pas un mot ; il me flanque un zéro. Quelle injustice !

Georges Feydeau divague sur l'élixir inventé par Brown-Séquard, en faisant intervenir notamment Louise Michel ou Jules Grévy.

Retour en haut