Monologues

Monologues pour un comédien ou une comédienne présents sur Libre Théâtre (texte intégral)

 

La leçon de vélo de Tristan Bernard par Georges Courteline

Des monologues ! a-t-on idée de cela ! Si j’étais la préfecture de police, je les défendrais ! C’est faux ! Archi-faux ! Un homme raisonnable ne parle pas tout seul ; il pense, et alors il ne parle pas ! C’est ce qui le distingue des fous qui parlent et qui ne pensent pas. Admettre le monologue, c’est rabaisser l’humanité ! On devrait le défendre ! cela me rend malade !

J'ai fait hier un rêve symbolique, dont je ne suis pas mécontent.

Vous n’avez jamais vu d’idiots, vous ? Eh bien ! regardez-moi !… J’en ai vu comme vous n’en verrez jamais !

Non, mais c’est si simple ! Vous voulez être riche ? Soyez économe ! Je l’ai été toute ma vie, moi ! Aussi, aujourd’hui, j’ai une grosse fortune, je suis très heureux : je me refuse tout. Et quand je mourrai, eh bien ! j’aurai beaucoup d’argent… Enfin, voyons ! ça n’est pas l’idéal, ça ?

Une jeune fille de 17 ans poste un billet à son amoureux "Ernest, enlevez-moi !"... elle commence à rêver puis finit par se demander si tout cela est bien raisonnable...

Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.

L'histoire d'un pauvre jeune homme, accusé du meurtre de sa tante

Féru d'amour pour la petite Machinchouette du théâtre des Douces-Folies, où elle faisait le troisième coléoptère dans le ballet des insectes du Chat-Echaudé, je résolus de prendre exemple sur le capitaine Fracasse et de parvenir par le cabotinage jusqu'au cœur de celle que j'aimais.

- Chou ! cria Monsieur à Madame allongée à son côté, puisque tu as fini de le lire, passe-moi donc l'Echo de Paris, que je voie un peu les nouvelles.

Complainte du pauv’ propriétaire de Georges Feydeau Dernier monologue écrit par Feydeau en 1916 et publié en 1916 à la Librairie …

Monologue en vers dit par Saint-Germain du Théâtre du Gymnase, publié en 1883.

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