Pièces pour 6 comédiens ou comédiennes

Œuvres théâtrales pour 6 comédiens ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Lucidor, riche bourgeois venu de Paris, est tombé malade à la campagne et a été soigné par  une famille d’honnêtes propriétaires campagnards peu fortunés. Il est tombé amoureux de la jeune Angélique, mais souhaite la mettre à l'épreuve : il lui présente un riche prétendant en fait, son valet Frontin. Maître Blaise, un riche fermier souhaite aussi l'épouser...

Roquefavour, un jeune artiste plein de dettes, se rend chez Fontenage, son créancier. Il lui propose ses meubles en gage. Defontenage accepte le marché et Roquefavour s’installe confortablement, en s'attirant les bonnes grâce de la domesticité et les faveurs de la maîtresse de maison.

La Partie de bridge de Tristan Bernard Saynète représentée au Théâtre de la Michodière le 24 avril 1937. Retraitement par Libre …

La Mère  confidente de Marivaux Comédie en trois actes et en prose créée pour la première fois le 9 mai 1735 …

Bettine d’Alfred de Musset Comédie en un acte et en prose, publiée en 1851 et représentée pour la première fois sur …

Monsieur, son chapeau sur la tête. Hé bien, je file. Si on vient pour le gaz, tu diras que j'irai payer. Ah ! il est également à craindre que l'on vienne de chez Dufayel ; tu diras qu'on repasse demain ou samedi... dans quelques jours, quoi !... Cré saleté de purée ! quand est-ce donc que ça finira ?...J'ai écrit à Ferdinand pour lui emprunter dix louis, mais je doute que ça réussisse. Enfin ! Au revoir. (A l'enfant, qui s'amuse dans un coin, avec un bouchon.) Tu seras bien sage, hein, Toto, pendant que je serai sorti ?

Piégelé costumé en guerrier du moyen-âge ne connaît pas son texte et entend mal les répliques dites par le souffleur.

Lobligeois et Rotanger ont une belle boutique et une bonne enseigne : "Au Castor Laborieux". Mais ils ne cessent de se disputer depuis qu'ils se sont mariés et les épouses mettent de l'huile sur le feu... la dispute se concentre sur le cachemire X.B.T. dont personne ne veut  : c'est  un joli châle pour l'un, une horreur pour l'autre...

Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l'Académie d'Etampes, et propriétaire d'une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu'il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l'académicien d'Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu'on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n'épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c'est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c'est que ce fils n'est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s'habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l'endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.

Paul a donné rendez-vous à une jeune fleuriste dans le cabinet privé d'un restaurant. Malheureusement, le cabinet voisin est occupé par son futur beau-père, Saturnin qui a convié une jeune teinturière. Les deux hommes se rencontrent dans le couloir et vont tout faire pour cacher qu'ils ont rendez-vous avec une jeune femme.

Edgard, un jeune homme, doit aller avec sa mère signer son contrat de mariage avec la riche Henriette de Veauvardin. Mais il a une liaison avec Florestine, sa femme de chambre, qui ne compte pas le laisser ainsi s'échapper. Sous la menace de la jeune femme, Edgard simule une rage de dents. Qu'à cela ne tienne, Veauvardin, désireux de conclure le mariage, arrive chez Edgard avec le notaire et les invités. Florestine met alors tout en oeuvre pour faire échouer le mariage.

Comédie en un acte et en prose de Marivaux représentée pour la première fois par les Comédiens Français, le 11 janvier 1736.

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