Pièces de théâtre du XIXe siècle

Œuvres théâtrales du XIXème siècle présentes sur Libre Théâtre : pour chacune des pièces, une chronique et le texte intégral à télécharger. 

Marcassol est propriétaire d'un immeuble. Parmi ses locataires il y a Trémollet, dont l'agence matrimoniale bat de l'aile et Sonia Kaskoff, dont Marcassol est épris et pense qu'il a pris la place de Lagaulardière. Marcassol, après un an de mariage, est lassé par sa femme, Clarisse, qui a changé. D'une femme "originale, capricieuse, fantasque", elle s'est transformé en "mouton, un pot-au-feu !".

L'histoire tragique d'une grève ouvrière, lancée par Jean Roule, ouvrier anarchiste, et Madeleine Thirieux, qui vient de perdre sa mère morte d'épuisement. Malgré les tentatives de conciliation du fils du patron, Robert Hargand, la troupe est envoyée.

Victor Hugo metteur en scène de ses pièces Hugo réalise ses premières mises en scène lorsqu’il est enfant sur le petit …

Madeleine de Émile Zola Drame en trois actes, écrit en 1865, non joué à cette époque, mais représenté pour la première …

Eugène, pharmacien à Loches, son frère, et sa soeur, sont montés à Paris pour tenter de se marier. Pensant être dans une agence matrimoniale, ils débarquent dans un bureau de placement et sont recrutés comme domestiques chez le Docteur Saint Galmier, directeur du Louvre-Hydrothérapique, premier établissement de Paris pour le traitement des maladies nerveuses. Ils prennent le docteur, sa soeur et sa fiancée pour leurs promis. L'irruption de Michette, l'ancienne maîtresse du docteur ajoute aux quiproquos, tandis que Saint Galmier prend ces drôles de domestiques pour des fous échappés de l'asile.

La tirade des coqs – Chantecler d’Edmond Rostand Extrait de l’Acte III, Scène 4. Lien vers le texte intégral de la …

Mme de Brée, jeune veuve richement dotée, va se marier avec son cousin Chabriac, homme rustre et cupide. Valory, un jeune avocat va mettre en œuvre un stratagème pour faire échouer ce mariage : voler dans le bureau de Mme de Brée les 300 000 francs afin que Chabriac renonce au mariage.  Tout ne se passe pas comme prévu car Chabriac se rend aussi secrètement dans la même pièce...

Tirade de Dona Lucrezia dans Lucrèce Borgia (Acte II, Première Partie, Scène 2) Dona Lucrezia, entrant avec impétuosité. Monsieur, monsieur, ceci est …

Dans la chambre à coucher, Trévelin et sa femme Emilienne  se disputent car le mari veut sortir seul. Après plusieurs manoeuvres, Trévelin parvient à ces fins. Alors qu'Emilienne  envie le sort des cocottes, son amie, Olympe Chantrot, arrive bouleversée : leurs maris les trompent ! Emilienne, pour se venger, téléphone à Blanche de Mouzy, que l'on a vu récemment aux bras de son mari. Se faisant passer pour la femme de chambre de Trévelin, elle lui raconte que son maître n’est pas encore prêt. Il faut que Madame de Mouzy vienne passer prendre M. Trévelin chez lui. A l'arrivée de Blanche, Trévelin et sa femme se disputent. Trévelin qui finalement sort avec Blanche, tandis que Emilienne et Olympe préparent leur vengeance : elles  iront faire les cocottes au jardin de Paris.

Deux familles, les Montgiscar et les Chambrelan, organisent la rencontre de deux jeunes gens, Jules et Jeanne, au Louvre afin qu'ils se connaissent et puissent décider si le mariage leur convient. La chose est rapidement décidée, mais Madame est trop belle et le premier bal tourne au cauchemar pour le mari.

Ces saynètes de Courteline sont issues des chroniques régulières parues dans  L’Echo de Paris, sous le titre  Ombres Parisiennes et signées Jean de la Butte, en l’honneur de Montmartre.

Monsieur Chaponais, bourgeois hypocondriaque, a signé un contrat de 10 ans avec son médecin, Monsieur Martaban, pour qu’il le soigne quotidiennement. Martaban s’est installé dans l’appartement au-dessus de celui de Chaponais pour être plus proche de son malade. Ces messieurs sortent régulièrement, avec leurs épouses, aux spectacles de la vie parisienne. Mais M. Chaponais est tourmenté, au grand dam de son médecin : il a trouvé dans l’étui à lunettes de Ninette, sa femme, un petit mot doux du jeune Ernest de Pontfarcy.

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