Vendredi 13 (13 y Martes) par la Compagnie César Martín à Ceuta

Auditorium de Revellín, Janvier 2023

Compagnie César Martín
Avec Montse Taboada, Iván Alejandro Martín et César Martín

 

 

 

 

 

 

Reportage de Faro TV Ceuta

Reportage de Radio Televisión Ceuta

Revue de presse

‘El Revellín’ acoge ’13 y martes’, una comedia que ensalza las relaciones humanas
El Pueblo de Ceuta, 21/01/2023
Traduction d’un extrait : « Un chef d’œuvre, du moins pour ceux qui ont su apprécier la dramaturgie, une comédie qui pour la plupart des spectateurs a été comme « ce miroir dans lequel nous pouvons nous regarder et découvrir nos misères, nos moqueries et nos petits succès quotidiens ». Pièce de l’auteur de théâtre et scénariste français d’origine espagnole, Jean-Pierre Martínez, l’œuvre raconte l’histoire de Jerónimo et Cristina, qui invitent à dîner un couple d’amis. Des rires qui cachaient parfois un peu d’amertume, en se reconnaissant ou en reconnaissant des situations familiales. 
« Le Revellin » a apprécié cette bonne comédie, de celles dont vous ne vous rendez pas compte qu’elles sont déjà à la dernière scène, de celles qui parlent des relations humaines, avec une caractérisation très particulière des personnages. Le public  a apprécié comme des enfants ce retour au théâtre et ceux qui apprécient l’art, n’ont pas hésité à remercier par une salve nourrie d’applaudissements. »

La Compañía de César Martín no defrauda y rebosa de carcajadas el Revellín con ’13 y martes’
Ceutaldia, 21/01/2023
« Quoi de mieux qu’une bonne comédie pour passer un samedi soir à l’abri du froid (sérieux, y a-t-il mieux ?). Plus de 200 personnes de Ceuta semblent avoir pensé de la même manière ce glacial 21 janvier, un jour qui restera dans l’histoire – dans le monde de l’interprétation – le jour où la Compagnie César Martín est revenue sur scène après deux ans d’inactivité totale et totale. 
Notre estimé collègue a mis en scène, la plus hilarante des œuvres signées par le célèbre écrivain français Jean Pierre Martínez. Montse Taboada, Iván Martín et César lui-même ont enfilé leur tenue de travail pour réjouir les deux cent personnes qui, sans aucun doute, ont choisi judicieusement leur plan pour la fin de semaine. (…)
Les multiples rebondissements inattendus ont ravi les personnes présentes. Le rire, bien sûr, n’a pas manqué. César et sa compagnie avaient promis de faire bien rire leur public et non seulement ils n’ont pas manqué à leur parole, mais ils ont mis la barre très haut pour les comédiens qui monteront bientôt sur la scène du Ravellin. »

Interview de César Martín au journal El Pueblo de Ceuta, le 21/01/2023

« Le bon théâtre parle toujours des relations humaines et si les personnages sont bien caractérisés, peut-être les avons nous caractérisés de manière exagérée, toute comédie être un miroir et être le reflet de la société. Si vous ne vous identifiez pas à ce que vous voyez, que ce soit à un niveau personnel ou à une situation que vous connaissez, vous ne vous provoquez pas de stimulus pour vous faire rire. Une bonne comédie comme celle-ci, bien que j’insiste, l’objectif fondamental est de faire rire, fonctionne parce qu’elle propose un portrait, une petite dissection de la psychologie de l’être humain et de sa façon de se comporter. Je suis sûr que beaucoup de personnes qui seront là pourront s’identifier à un niveau personnel ou parce qu’elles connaissent ou ont vu des situations similaires. (…)

Je voudrais, peu à peu, obtenir un changement dans la mentalité des gens de Ceuta, car il est vrai que nous avons un nombre de fans qui viennent et qui soutiennent toujours le théâtre local, mais il y a aussi l’idée à Ceuta que ce qui est d’ici n’en vaut pas la peine, parce que si il c’était bon, il serait déjà parti ailleurs. Ici, on fait un très bon théâtre. J’aimerais que, grâce à notre travail, on change un peu cette mentalité et que les gens commencent à apprécier la culture de Ceuta, le théâtre de Ceuta et à l’exporter à l’extérieur et pouvoir emmener ces œuvres à l’extérieur de la ville en tant qu’exemple clair de la culture qui existe ici, qui n’est pas seulement frontière, accidents, morts et mineurs. Ici, on fait beaucoup de choses et c’est aussi une partie de notre patrimoine. »

 

 

 

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