Sketch

Courte scène, comique et enlevée, pour un petit nombre d’acteurs.

Un dramaturge en plein labeur de Tristan Bernard

Saynète. Retraitement par Libre Théâtre à partir du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 2 hommes
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L’argument

Un auteur de théâtre, revenu d’une partie de poker à 7 heures du matin, est appelé par un ami puis par le directeur du théâtre auquel il a promis sa nouvelle pièce. Il ne se souvient plus de la pièce, la confond avec une autre… heureusement son secrétaire est là…

extrait : « Oui, oui, je sais que tu es un homme de théâtre… Mais, tout de même, un petit quelque chose qui n’irait pas pourrait te faire mauvaise impression… Tu trouves que je suis en retard ?… Voyons, mon vieux, de quoi te plains-tu? Je t’avais promis la pièce pour le 5 février ? Eh bien, je t’affirme qu’à midi précis, le 15 mars, je te l’apporterai… Ben quoi ! Cela fait quarante jours… Je suis en avance sur le retard normal !… Tu es extraordinaire ! Tu sais pourtant ce que c’est que d’écrire une pièce ! On ne peut pas commander à ses facultés créatrices ! »

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53129876t
Tristan Bernard et Georges Berr / dessin de Yves Marevéry. Source : BnF/Gallica

 

 

Un mystère sans importance de Tristan Bernard

Saynète, jouée dans une matinée de bienfaisance. Retraitement par Libre Théâtre du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 3 hommes, 2 femmes
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L’argument

Roseleur, un avocat, trouve dans la poche de son pardessus son mouchoir dont le coin est noué. Quel est ce mystère ? Pourquoi a-t-il fait ce nœud à son mouchoir ? A quel propos ? En quelle circonstance ? Il a beau songer, réfléchir, appliquer à ce problème toutes ses meilleures méthodes d’investigation, il ne trouve pas. Il interroge en vain sa bonne, son ami, qui le trouve bizarre et sa petite amie, qui le trouve très distant : il ne songe qu’à remonter au moment il aurait fait ce nœud. Le mystère s’éclaircit quand un monsieur vient rapporter le pardessus de Roseleur, échangé par erreur avec le lien dans le vestiaire du Congrès de jurisprudence. Il récupère son propre pardessus (et son mouchoir noué) et Roseleur sa tranquillité d’esprit.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53073770z
Tristan Bernard. Photographie de presse par l’Agence Rol. 1921. Source : Bnf/ Gallica

Antoinette ou Le Retour du Marquis de Tristan Bernard

Saynète, jouée au au théâtre du Casino d’Enghien, en représentation exceptionnelle, et reprise le 10 octobre 1903 au Théâtre des Mathurins.
Elle devrait être initialement créée le 6 juin 1901 à l’Opéra pour une soirée au bénéfice de Mme Marie Laurent (jouée par Mmes Jeanne Granier, Marie Manier, Lavalliers et MM. Guitry, Cooper, Brasseur et Guy, mais deux des interprètes renoncèrent à leurs rôles quelques jours avant la représentation.) Extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 3 hommes, 1 femme
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L’argument

Dans un théâtre, depuis un balcon, une femme apostrophe le régisseur qui n’a pas nommé parmi les comédiens sa fille. Deux hommes parmi le public dans l’orchestre lui intiment l’ordre de se taire. Lorsque la pièce commence, elle commente l’action, annonce l’arrivée sur scène de sa fille.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9008281x/f1.item
Enghien Les Bains, Théâtre, Casino municipal, établissement thermal moderne [affiche] / Dessin : Raymond Tournon / Guillet : lithographie. Source : BnF/Gallica

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Les Plaisirs du Dimanche de Tristan Bernard

Saynète représentée au Sporting Club, le 31 mars 1925, puis en janvier 1932 au Théâtre Tristan Bernard, extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
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L’argument

Tout le monde s’ennuie le dimanche chez les Commercy. M. Commercy n’a qu’une envie : c’est d’aller faire un bridge au club avec son ami Larcadier. Tony espère passer une après-midi seule avec Mme Cormmercy… mais un coup de téléphone change tous les plans : ils sont invités à  aller au théâtre.

Extrait

Larcadier. – Moi, j’ai été marié, je ne le suis plus. Ma femme l’est encore.
Tony. – Comment cela ?
Larcadier. – C’est-à-dire qu’elle s’est remariée. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Les femmes n’ont pas de mémoire. Quand il a été question de divorcer, nous nous sommes précipités avec ivresse dans le célibat. Seulement, moi, j’y suis resté, parce que je n’avais pas oublié ce que c’était que le mariage. Tandis qu’elle, frivole, elle a recommencé. Enfin, la question n’est pas là ; il y a quinze ans que ça s’est passé. Elle m’a trompé avec un grand nombre d’amis à moi, dont cet imbécile de Commercy qui était garçon alors… Je ne vous dis pas cela pour vous inciter à lui rendre la pareille… Il ne sait pas que je le sais ; autrement, ça me gênerait pour le fréquenter. Si j’avais eu l’air de savoir, je me serais fermé un certain nombre de portes. Mais, hélas ! je le savais toujours. Ma femme ne manquait pas de me le dire elle-même chaque fois. Elle avait une rage de confidences, et, comme elle n’avait pas d’amis intimes, et que j’étais, somme toute, la personne avec laquelle elle était le plus liée, c’était à moi qu’elle venait raconter tout ça ! Chaque fois qu’elle était en retard pour dîner, je me disais : « Qu’est-ce qu’elle va encore me raconter ? » En dehors du récit de ses prouesses, elle n’avait d’ailleurs aucune espèce de conversation. C’est pour cela que j’ai divorcé. Pour pouvoir enfin parler d’autre chose !…

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Un homme dans la maison de Tristan Bernard

Saynète, jouée au Théâtre Saint-Michel en janvier 1927 (jouée avec la pièce Le Sexe fort ou la Volonté de l’homme), extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
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L’argument

M. Lemorandel, 66 ans, ancien magistrat est chargé de chaperonner sa nièce Irma, qui doit régler quelques affaires de famille en province. Ils sont de passage dans la maison de campagne de Lemorandel ; ils ont croisé un capitaine de leur connaissance, qu’ils ont invité à dîner.  La maison est si isolée que Lemorandel, très craintif, ne veut pas y dormir une seconde nuit et a appelé un voiturier pour les conduire dans une auberge. Alors qu’ils attendent le voiturier et que le capitaine est parti, Lemorandel fait la morale à sa nièce et condamne son inconduite. Le capitaine est un brave garçon, qui n’a pas songé faire la cour à Irma, contrairement à tous les autres hommes rencontrés pendant la journée…

 

 

Un garçon de dix-huit ans de Tristan Bernard

Saynète jouée en mars 1914 au Théâtre Sarah-Bernhardt lors d’une matinée de bienfaisance.
Le personnage d’Eugénie était interprété par Sarah Bernhardt et le personnage de Prosper par Tristan Bernard. Albert était joué par Félix Grouillet. Retraitement par Libre Théâtre du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
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L’argument

Un père et une mère attendent angoissés dans la nuit  le retour de leur fils de 18 ans. Il ne rentre que fort tard au moment où ses parents redoutent le pire…

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5360804/f3.item
Le Gaulois : littéraire et politique du 26/02/1914. Source : BnF/gallica

 

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53104110n.item
Tristan Bernard et Sarah Bernhardt / dessin de Yves Marevéry. Source : BnF/Gallica

La Partie de bridge de Tristan Bernard

Saynète représentée au Théâtre de la Michodière le 24 avril 1937. Retraitement par Libre Théâtre à partir du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 5 hommes, 1 femme
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L’argument

« Je vous conseille non moins vivement les délices de La partie de bridge, où l’on voit le pauvre M. Dergos qui a invité ses amis à « faire un bridge » souffrir si vivement de coliques néphrétiques qu’il trouble tout, est obligé de se mettre au lit et de demander un médecin. La cruauté des joueurs est cynique. Ils ne pensent qu’à leur partie compromise et ne sont pas loin de considérer M. Dergos comme un coupable et un malotru. Ils espèrent d’abord que ce malaise « ne sera rien » et que le jeu le distraira. On l’oblige à faire sa partie, on lui enjoint de ne pas gémir car ses plaintes troubleraient le jeu. L’épouse inquiète demande :  « Comment te sens-tu, Alfred ? » un joueur répond avec autorité «II va mieux, moi je dis deux sans atout. » Mais le pauvre Dergos souffre de plus en plus. Il quitte la partie. Les joueurs implacables ont d’abord l’idée de quitter cette maison inhospitalière et d’aller jouer ailleurs. Mais ils n’osent abandonner l’épouse éplorée. Ils attendent le docteur. Mais quand celui-ci arrive ils n’y tiennent plus et, avec le docteur, on va pouvoir enfin continuer le bridge. Il s’agit bien du malade ! « Vous jouez le bridge plafond ? Oh je joue tout ce que vous voudrez. » C’est admirable. Le docteur fait vite au patient une petite piqûre de morphine afin qu’il se tienne tranquille et ne trouble plus la partie. Et voilà. Ces quelques pages sont d’une réussite irrésistible. L’égoïsme inconscient et féroce des gens atteints d’une manie exaspérée et dominante est ici peint en quelques touches vives et sournoises de main de maître. C’est un sketch de Tristan Bernard, mais ce pourrait être un des Caractères de La Bruyère »
(critique de Gérard d’Houville parue dans le Figaro du 3/11/1930. Source : BnF/Gallica)

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75364688/f1.item
Article de Gil Blas, paru le 19 août 1911. Source : BnF/Gallica

La Sacoche de Tristan Bernard

Saynète en vers. Retraitement par Libre Théâtre à partir du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
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L’argument

Un garçon de banque a perdu aux courses l’argent qu’il avait encaissé. Désespéré, avant de se noyer, il s’endort sur les berges de la Seine au crépuscule. Deux cambrioleurs qui viennent de dévaliser une bijouterie se réjouissent en survenant et trouvant endormi un encaisseur auprès de sa sacoche. Hélas cette sacoche est vide. Et voilà que l’on entend venir des policiers. Craignant d’éveiller les soupçons comme la sacoche est vide, le cambrioleur glisse dix gros billets dans la sacoche. Le chef des agents laisse filer les honnêtes cambrioleurs et réveille le garçon de banque qui, émerveillé, trouve en la sacoche qu’il avait vidée aux courses, trois billets de plus…

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9027615j/f1.item
Tristan Bernard aux courses de Deauville [photographie de presse] / Agence Meurisse. 1935. Source : BnF/Gallica

Le Prétendant de Tristan Bernard

Saynète extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 3 hommes, 4 femmes
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L’argument

M. Racosse est fort riche, il a une belle maison, de beaux tableaux, et une fille à marier. Sans doute n’a-t-il pas, malgré ses affirmations, vis-à-vis de la loi fiscale une conscience très limpide mais il vit dans l’inquiétude. Tout ce qu’il doit payer au percepteur lui empoisonne l’existence « Encore un papier des contributions directes. ils me feront mourir. S’ils continuent je ne pourrai bientôt plus marier ma fille. Je n’aurai plus un sou à lui donner ».

Mme Racosse est moins pessimiste et d’ailleurs attend ce jour-là la visite d’un prétendant à la main de Mlle Racosse, la charmante Renée. Mais rien ne distrait de ses préoccupations le funèbre M. Racosse dont l’hypocondrie est portée au plus noir par la visite de sa sœur Augustine.

Celle-ci ne vient-elle pas de lui affirmer que des agents du fisc s’introduisent dans les demeures de ceux des contribuables qu’ils soupçonnent de fraude, sous des prétextes, des déguisements. Ne vont-ils pas jusqu’à se dire prétendants à la main des jeunes filles à marier, dans les familles où il y a des jeunes personnes Terrorisé, M. Racosse s’imagine immédiatement que le jeune homme qui doit venir aujourd’hui lui demander la main de Renée est un de ces espions. Comment le dépister ? Comment cacher les richesses, trop apparentes, l’hôtel, les collections, l’automobile, le jardin d’hiver, etc., etc. Et les élégances de ces dames ? et même celles de la femme de chambre ? Trop tard. On introduit deux jeunes gens M. Pomin, fabricant de caoutchouc et son ami le poète Enguerrand Durand, fils de M. Durand, fabricant de chaudières à vapeur. Tout cela sent la mystification à plein nez. Aussi dans l’entretien que M. Racosse accorde confidentiellement à M. Pomin, M. Racosse fait-il le finaud. Il sait qu’il ne s’agit pas, dit-il de la part de M. Pomin, prétendant, d’un mariage d’amour, mais d’une union d’affaires. « Alors, je dois vous prévenir honnêtement que ma situation ne me permet pas de donner la moindre dot. » En vain Pomin fait-il remarquer à Racosse toutes les raisons qu’il a de le croire riche. Racosse déclare ses immeubles hypothéqués, ses Cézanne apocryphes, son auto gagnée en loterie et sa bonne habillée à l’œil comme reine des femmes de chambre de l’arrondissement. Alors, Pomin déclare à son tour qu’il renonce à ses projets matrimoniaux, car il projetait, par cette union qu’il croyait avantageuse, de donner de l’extension à sa maison ». Racosse jubile et se dit « Je l’ai eu ». Mais Pomin était un vrai prétendant. La ruse de M. Racosse l’a forcé à dévoiler ses vrais sentiments. Et pendant cet entretien Renée a fait la conquête d’Enguerrand Durand qui, la croyant sans fortune et étant poétique et désintéressé, la demande en mariage. M. Racosse ne peut qu’approuver. Et d’ailleurs, ce poète, de par les chaudières paternelles, est un bon parti. « Mais que dira ce poète quand il apprendra que nous avons de la fortune ? », dit-il tout bas à sa sœur Augustine. « II se fera une raison » susurre celle-ci. Et on voit toute la drôlerie de ces ressorts à soubresauts imprévus à la fois retors et naïfs, et l’optimisme général qui veut que comme dans le bon vieux théâtre la farce finisse quand même par un mariage. C’est charmant. (critique de Gérard d’Houville parue dans le Figaro du 3/11/1930. Source : BnF/Gallica)


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La Maîtresse de Jules Renard

Comédie parue en plusieurs épisodes dans le Rire, du 16 novembre 1895 au 4 janvier 1896, illustrés par Valloton. Editée en un volume en 1896.
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L’argument

Série de courtes scènes entre un jeune homme et sa maîtresse, de la séduction à la rupture, réelle ou supposée.
Sommaire des scènes: 

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1172961r/f2.item
Source : Gallica

Pour Parler
– Réticences,
– Le Nez du Gouvernement,
– Phénomènes connus
La Veille
– Le Cocher
– Le Cocher, le même
– Echange de petits noms
– Avant tout, la Paix
– Le Passé
– D’où vient l’argent

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1172961r/f2.item
Source : Gallica

– La question des enfants
– Scrupules
– L’Alerte
Le Contact
– Inventaire
– La Patronne
– La Toilette
– L’Ami Osoir
Cris dans la Nuit
La Mise au point de leur amour
Les Manœuvres du Gouvernement dévoilées
L’Inévitable Lettre
Dénouement possible

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11729640
Source : Gallica
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1172961r
Source : Gallica
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1172965d/
source : Gallica
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1172966t
Source : Gallica

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