Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Gymnase-Dramatique le 16 février 1856.
Distribution : 3 hommes, 1 femme
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argument
Adrien revient des Etats-Unis avec son ami Stephens, après une longue absence. Son père est décédé en laissant une fille Lucie, qu’il a eue avec une gouvernante. Daniel, l’intendant, fait tout ce qu’il peut pour protéger les intérêts de Lucie, que sa mère, une femme intéressée et déplaisante, ne veut plus voir. Stéphane et Adrien tombent tous deux sous le charme de Lucie. Par ailleurs, le portefeuille qui contenait toute la fortune du père a disparu…
Estampe de George Sand (1843). Source : BnF/Gallica
Le Cousin de Rose de Jules Renard
Comédie en un acte écrite en 1908, jamais représentée du vivant de l’auteur.
Distribution : 3 hommes, 2 femmes
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argument
À la campagne, Bargette vient rendre visite à son amie Rose. Elle lui apprend que son cousin Jacques vient d’être chassé violemment par Morin, son logeur, qui l’a surpris avec sa femme. Jacques était auparavant hébergé chez Rose et on comprend que Rose a un faible pour son cousin, comme Bargette d’ailleurs. Arrive Jacques, suivi peu après par le terrible Morin et par le mari de Rose, Polyte…
Adaptation à la télévision
À l’occasion du cinquantième anniversaire de la mort de Jules Renard, la R.T.F. a décidé de donner vie au « Cousin de Rose » qui n’avait jamais été représenté auparavant. Durée 27 minutes, diffusé le samedi 21 mai 1960 à 22h10
Introduction de Gilbert SIGAUX Réalisation de Roland BERNARD
Avec
Claude NICOT Jacques, 30 ans
Pierre LEPROUX Polyte, 50 ans
Alexandre RIGNAULT Morin, 45 ans
Arlette THOMAS Bargette, 38 ans
Yvette ETIEVANT Rose, 37 ans
Source : BDFF (base de données de films français avec image)
Yvette Etievant et Pierre Leproux dans le Cousin de Rose. Source : BDFF
L’Invité ou Huit jours à la campagne de Jules Renard
Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Théâtre de la Renaissance, le 5 février 1906.
Distribution : 3 femmes, 1 homme
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argument
Un jeune Parisien, Georges Rigal, veut passer «huit jours à la campagne» chez son ami, Maurice Perrier. Il arrive dans la maison familiale, mais il n’est pas attendu et son ami est absent. Il reçoit un accueil glacial de la part de la grand-mère, Maman Perrier.
Extrait
Madame Perrier
Maurice est sorti ce matin, avant le passage du facteur. Il n’a donc point lu votre lettre, et je ne l’ai pas décachetée ; je l’avais mise dans ma poche. Tenez, monsieur.
Georges, prenant la lettre.
Elle ne renferme aucun secret, madame ; j’écrivais à Maurice. Il pose sa valise sur le banc, ouvre la lettre et lit : « Cher ami, mon congé m’est accordé. Il y a si longtemps que tu me retiens et que je te promets ces huit jours… »
Maman Perrier, inquiète.
Huit jours !
Madame Perrier, d’un ton insignifiant, pour réparer.
Huit jours.
Georges
J’ai mis huit jours, pour mettre un chiffre, mais je resterai autant que je voudrai, autant que Maurice voudra, autant que vous voudrez, mesdames… (Il continue de lire la lettre.) « J’arriverai demain matin jeudi, (c’est aujourd’hui, vous voyez si je suis exact !) par le premier train ; je me fais une joie de bavarder avec toi et de connaître enfin madame ta mère et mademoiselle ta sœur…»
Maman Perrier
Et la grand-mère, on n’en parle pas ?
Georges
Oh ! Madame.
Maman Perrier
Elle ne compte plus !
Georges
Pouvez-vous dire, madame ?
Maman Perrier
Maurice, je parie, m’a déjà donnée à tuer.
Georges.
Non, madame.
Maman Perrier.
Ça ne m’étonnerait pas de lui. Vous ne saviez peut-être pas seulement que j’existe ?
Georges.
Oh ! madame, je sais… je sais de quelle affection Maurice vous aime. Je vous ai oubliée par étourderie. Excusez-moi.
Madame Perrier, arrangeante.
D’ailleurs, à quoi ça sert d’écrire des longues lettres qui n’en finissent plus, quand on va se voir ?
Georges.
N’est-ce pas, madame ? Vous avez bien raison. Silence. Je reprends donc ma lettre.
Les Hommes du jour / dessins de A. Delannoy ; texte de Flax. 3 avril 1909. Source : BnF/Gallica
Comédie en un acte, représentée pour la première fois le 16 mars 1897, au Cercle des Escholiers, reprise le 12 mars 1902, au Théâtre-Français. Dédiée à Edmond Rostand. Danièle Davyle, pensionnaire de la Comédie-Française, a inspiré le personnage de Blanche.
Distribution : 1 homme, 1 femme
Texte intégral de la pièce en téléchargement gratuit sur Libre Théâtre
L’argument
Maurice rend une dernière visite à Blanche, son ancienne maîtresse. Il prépare son mariage avec une jeune fille qui a les manières « d’une chaise sous sa housse ». Blanche va également se caser avec « un adorateur frugal ». Ils semblent toujours s’aimer, avec autant de passion.
Illustrations de Maillaud
extraites de l’édition Fayard, 1911. Source : BnF/Gallica
Sur le site de l’INA
Mise en scène pour la télévision par Jean Marie Coldefy. 28 juillet 1973 avec André Dussolier et Michele Boudet. Extrait sur le site de l’INA
Comédie en un acte représentée pour la première fois le 14 mars 1898, dans les salons du Figaro, à Paris, avec Lucien Guitry et Marthe Brandès. Elle est dédiée à Tristan Bernard.
Distribution : 1 homme, 1 femme
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argument
Deux couples sont réunis pour un séjour de vacances. Marthe et Pierre, dont les conjoints respectifs se sont retirés après le dîner, évoquent leur vie de couple, les qualités de leurs conjoints, la question de la fidélité. La conversation se transforme rapidement en marivaudage.
Illustrations de Maillaud
extraites de l’édition Fayard, 1911. Source : BnF/Gallica
Comédie en un acte, écrite en collaboration avec Georges Docquois. Représentée pour la première fois à Paris, sur la scène du Théâtre national de l’Odéon, le 9 novembre 1895. Tirée d’une nouvelle parue initialement dans le Mercure de France de janvier 1890, et éditée dans le recueil Sourires Pincés.
Distribution : 3 hommes, 4 femmes
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argumentaire
Parution de la nouvelle La Demande dans Almanach Normand-Percheron en 1911. Source : Gallica/ BnF
Ripois a deux filles, Henriette et Marie qu’il veut marier. Marie est vive et jolie, mais Ripois veut d’abord marier Henriette, l’aînée, un peu disgracieuse. Alors que Gaillardon vient acheter un de ses taureaux, il fait sa demande en mariage. Ripois l’invite à déjeuner et informe sa femme et ses filles de la bonne nouvelle. Mais il y a une erreur sur la promise : Gaillardon souhaite épouser Marie, alors que Ripois pense qu’il s’agit d’Henriette…
Comédie en un acte, représentée pour la première fois le 2 mars 1900, au théâtre Antoine.
Distribution : 2 hommes, 2 femmes
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argument
Comme à son habitude, alors que son frère est à la pêche, Poil de Carotte, âgé de 16 ans travaille dans la cour. Annette la nouvelle servante de la famille Lepic arrive. Poil de Carotte la met au courant des habitudes de la maison et Annette découvre la triste condition du fils détesté de sa mère et délaissé par son père. Elle provoque un échange entre le père et son fils, qui se parlent enfin et dévoilent leurs sentiments.
Extrait :
Poil de Carotte
Et la famille, papa ? Quelle blague !… Quelle drôle d’invention !
M. Lepic
Elle n’est pas de moi.
Poil de Carotte
Sais-tu comment je la définis, la famille ? Une réunion forcée… sous le même toit… de quelques personnes qui ne peuvent pas se sentir.
M. Lepic
Ce n’est peut-être pas vrai dans toutes les familles, mais il y a, dans l’espèce humaine, plus de quatre familles comme la nôtre, sans compter celles qui ne s’en vantent pas.
Poil de Carotte
Et tu es mal tombé.
M. Lepic
Toi aussi.
Poil de Carotte
Notre famille, ce devrait être, à notre choix, ceux que nous aimons et qui nous aiment.
M. Lepic
Le difficile est de les trouver… Tâche d’avoir cette chance plus tard. Sois l’ami de tes enfants. J’avoue que je n’ai pas su être le tien.
Poil de Carotte
Je ne t’en veux pas.
Pour aller plus loin
À propos de Poil de Carotte
Jules Renard a rappelé la genèse de la création de la pièce dans une conférence donnée aux adhérents de l’Amicale des Instituteurs de la Nièvre le 29 octobre 1904 à Nevers.
« Annette existe déjà dans un chapitre du livre. Sur scène, c’est elle qui a tiré toutes les ficelles. Etrangère, elle arrive, elle entre en place. Elle ne connaît pas la famille Lepic. Elle interroge Poil de Carotte. Poil de Carotte la renseigne et, du même coup renseigne le public. »
Il raconte également la première lecture de Poil de Carotte à Tristan Bernard. « C’est injouable, dans cet état, me dit-il. (…) Je failli me brouiller, pour quelques heures, avec ce vieil ami de 15 ans. (…) L’inspiration, c’est de travailler, a dit Baudelaire. C’est ce que je fis, et incorrigible, je lus la pièce dans son texte neuf, à un autre ami, l’acteur Lucien Guitry. (…) La première partie de la pièce l’émut. Je le vis au picotement de ses yeux. La seconde partie lui parut beaucoup trop longue. (…) Mais justement, moi, je préférais cette seconde partie.
— Ma foi, me dis-je, flûte pour les amis ! Si on les écoutait, on démolirait tout ce qu’on a bâti. Je ne touche plus à ma pièce.
Cependant j’avais reçu ce télégramme d’Antoine : « on me dit que vous avez un Poil de Carotte. Le Théâtre Antoine vous est ouvert tout grand » La lecture à Antoine marcha bien, et le rôle de M. Lepic lui plut. Qui allait jouer le rôle de Poil de Carotte ? Ce ne pouvait pas être un homme. Les acteurs, comme les actrices, se rajeunissent volontiers, mais un acteur capable de retourner à l’âge de 12 à 14 ans, ça n’existe pas. Il fallait une femme en travesti, un femme qui eût beaucoup de talent et pas de hanches. »
C’est Suzanne Desprès qui obtint le rôle.
« Oh ! ces répétitions de Poil de Carotte, je ne les oublierai jamais. Jamais je n’ai vu pleurer dans la vie comme sur la scène du Théâtre Antoine. Les trois femmes de ma pièces Suzanne Desprès (Poil de Carotte), Ellen Andrée (Mme Lepic), Renée Maupin (Annette) pleuraient chacune leur tour, souvent toutes les trois ensemble.
Ne vous y trompez pas. Elles pleuraient non d’émotion à l’étude de leurs rôles, mais parce qu’Antoine était terrible »
Illustrations extraites des Editions Fayard, 1911
D’après les dessins de Maillaud, et Dudouyt. Editions Fayard 1911. Souce : BnF/Gallica
Affiche, estampe et dessin dans Gallica
Suzanne Desprès dans Poil de carotte : [estampe] / Müller. 1900. Source : BnF/Gallica Poil de Carotte [avec] Miss Suzie Dorlans : [affiche] / Maurice Neumont. 1905. Source : BnF/Gallica [Marie Leconte dans « Poil de carotte » de Jules Renard / dessin de Yves Marevéry] . 1912. Source : BnF/Gallica
Comédie en un acte, publiée en 1897 dans la revue La Vie Parisienne, représentée en 1908, après la mort de Becque.
Distribution : 6 hommes
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre.
L’argument
Dans un café, trois joueurs attendent le quatrième partenaire de leur partie de domino, Blanchard, mais ils redoutent sa mort car il est mal en point. Blanchard apparaît, souffreteux. Au fil des scènes, ce sont les trois joueurs qui décèdent un à un. Blanchard reste seul…
L’univers de la pièce à travers les illustrations présentes sur Gallica
Groupe jouant aux dominos sur une terrasse : Auguste Mestral, Auguste Clésinger et un homme non identifié. Photographie de 1847. Source : BnF/GallicaAbsinthe Ducros fils… Affiche de Leonetto Cappiello. 1901. Source : BnF/GallicaQuina Excelsior. Chaque jour un verre de Quina Excelsior et vous aurez la santé… Massardier et Granjon, distillateurs St Etienne… Affiche de 1898. Source : BnF/ GallicaLait de vaches bretonnes. Laiterie normale… Bornibus Aîné & Cie… : affiche de Jules Chéret. 1879. Source : BnF/Gallica
Une exécution, Le Domino à quatre, Les Honnêtes Femmes, La Navette.
Ces quatre courtes pièces proposent quelques scènes de vie dans la France de la fin du XIXème siècle. Henry Becque, le père de la « comédie rosse », situe l’action au guichet d’une gare de province (Une exécution), dans un café (Le Domino à quatre), chez une bourgeoise de province (Les Honnêtes Femmes) et dans le salon d’une femme entretenue à Paris (La Navette).
Ces quatre comédies ont en commun un humour pince-sans-rire, des dialogues ciselés et des chutes surprenantes. Très rarement représentées, elles offrent aux metteurs en scène créatifs une matière riche pour des distributions réduites (de 4 à 6 comédiens et comédiennes).
ISBN 9782377050857 Mars 2017 75 pages ; 18 x 12 cm ; broché.
Prix TTC : 9,90 €
Achat auprès de votre libraire ou en ligne sur les sites suivants :
Une exécution de Henry Becque
Comédie en un acte, jamais représentée.
Distribution : 6 hommes
Texte intégral à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre
L’argument
Le maire d’une petite ville achète un billet pour Paris à la gare. Le billet n’est pas pour lui mais pour Justin qui est banni de la ville. Le maire évoque avec l’employé de la gare, le cafetier, le tailleur et le garde-champêtre les méfaits commis par le fameux Justin : séduction de femmes mariées, braconnage et emprunts non remboursés… Le maire redoute l’émeute sur le passage de Justin mais il ne se passe rien. On lui lance même un bouquet : « Ce bouquet-là ne peut venir que d’une femme ou d’un anarchiste » affirme le maire.
Henry Becque par Rodin. Gravure à la pointe sèche. 1885. Source : Musée Rodin
Une exécution, Le Domino à quatre, Les Honnêtes Femmes, La Navette.
Ces quatre courtes pièces proposent quelques scènes de vie dans la France de la fin du XIXème siècle. Henry Becque, le père de la « comédie rosse », situe l’action au guichet d’une gare de province (Une exécution), dans un café (Le Domino à quatre), chez une bourgeoise de province (Les Honnêtes Femmes) et dans le salon d’une femme entretenue à Paris (La Navette).
Ces quatre comédies ont en commun un humour pince-sans-rire, des dialogues ciselés et des chutes surprenantes. Très rarement représentées, elles offrent aux metteurs en scène créatifs une matière riche pour des distributions réduites (de 4 à 6 comédiens et comédiennes).
ISBN 9782377050857 Mars 2017 75 pages ; 18 x 12 cm ; broché.
Prix TTC : 9,90 €
Achat auprès de votre libraire ou en ligne sur les sites suivants :
Le Départ de Henry Becque
Comédie en un acte, représentée pour la première fois sur le théâtre national de l’Odéon, le 21 mai 1924.
Distribution : 3 hommes, 8 femmes
Texte intégral de la pièce à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre.
L’argument
Un atelier de couture à Paris un dimanche matin. Les ouvrières s’affairent autour de la finition d’une robe. Blanche est une ouvrière intègre et ambitieuse qui est courtisée par le fils du patron. Elle lui demande d’en parler à ses parents. Si la mère est ravie, le père interdit cette union. Il propose en revanche à Blanche de la prendre pour maîtresse ; elle refuse, il la renvoie. Lorsqu’Auguste un simple magasinier la demande en mariage, elle décide de céder aux avances du baron de Saint-Étienne qui lui écrit depuis longtemps.
A propos des personnages
Becque emploie les mêmes noms d’une pièce à l’autre, donnant plus de profondeur à ses personnages.
L’héroïne de cette courte pièce s’appelle Blanche, comme l’une des filles de la terrible pièce Les Corbeaux, qui est abandonnée par son fiancé après la ruine de sa famille et sombre dans la folie. Nous retrouvons à ses côtés Marie, la sage ouvrière qui porte le même prénom que la sœur de Blanche qui se sacrifiera dans les Corbeaux .
Le propriétaire de l’atelier qui propose à Blanche de l’entretenir s’appelle Letourneur comme Alfred de la Navette qui entretient Antonia.
Henry Becque par Rodin. Gravure à la pointe sèche. 1885. Source : Musée Rodin
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.