Strip Poker de Jean-Pierre Martinez par l’Akuara Teatro à Miami

Akura Teatro à Miami, 2015
Mise en scène : Yvonne López Arenal
Avec : 
Christian Ocón
Yvonne López Arenal
Isaniel Rojas
Miriam Bermúdez
Lumières : Mario García Joya
Costumes : Luis Suárez
Assistant metteur en scène : 
Vivian Morales
Artiste plasticien: Ismael Gómez Peralta
Lien vers le texte intégral de la pièce Strip Poker (en français, anglais, espagnol, portugais)

Revue de presse

La Compagnie Akuana joue la comédie Strip Poker, par JESÚS HERNÁNDEZ, Diario Las Americas, 10 avril 2015
« C’est une excellente comédie sur les relations, la société, l’hypocrisie et la méchanceté humaine ».

 

 

 

 

 

ArticleStrip Poker: las cartas no lo dicen todo / les cartes ne disent pas tout, Arturo Arias-Polo dans El Nuevo Herald, 9 avril 2015
« Dans ce travail, nous explorons d’autres voies », explique la comédienne-metteure en scène. « Contrairement à la pièce Contigo pan y cebolla y Gaviotas habaneras, dans laquelle l’humour cubain prédominait, nous avons eu recours ici à une comédie noire très similaire à celle de Woody Allen, qui utilise des relations de couple pour faire une satire de la société. Dès la première lecture, López Arenal a compris l »universalité de cette histoire, qui peut se dérouler dans n’importe quelle capitale du monde. Cette pièce a déjà été représentée avec succès en Espagne et en Argentine, et cette semaine en Uruguay. Pendant les répétitions, la metteure en scène était en contact avec l’auteur, qui vit à Paris. «Dès le premier instant, ce fut un échange très fructueux. Bien qu’il n’aime pas trop parler de ses œuvres, Jean-Pierre a exprimé son point de vue et sa confiance dans notre montage. En fait, il a promu la première de Miami sur Facebook », explique López Arenal.
Lien vers l’article intégral 

Strip Poker : humour noir dans un jeu de cartes par Xiomara J. Pages
« J’ai découvert Strip Poker, une comédie pleine d’humour noir, à la manière d’un Chaplin silencieux ou d’un Woody Allen satirique. Une œuvre où une vie triste et banale  de deux couples se transforme en une comédie surréaliste, autour d’une partie de poker, révélant l’hypocrisie et les mensonges de la société. »
Lien vers l’article intégral (en espagnol)

Strip Poker par Pepe Murrieta
« Strip Poker fera changer d’avis ceux qui sous-estiment l’humour. L’auteur français Jean-Pierre Martínez nous oblige à remettre en cause les valeurs imposées par la société, le succès, la famille, le couple. Par une série de hasards, deux couples se trouvent entraînés dans un jeu provocateur, où l’ironie et l’hypocrisie explosent et la peur apparaît.
Lien vers l’article intégral (en espagnol)

Strip Poker ou les mensonges silencieux, par Maga González.
« Les personnages évoluent sur un ton de comédie noire et d’absurdité, c’est un jeu de masques sur ce qui est et ce qui n’est pas, ce que nous étions et ne sommes pas, la vengeance, la trahison, le chantage. Comme dans un jeu de cartes, chacun garde sa main et attend tapi pour piéger l’autre. Tout le monde perd, personne ne gagne ou peut-être serez-vous surpris par ceux qui triomphent à la fin de la pièce.
Avec un éclairage et une mise en scène excellents – Yvonne López-Arenal  est à la fois comédienne et metteure en scène – la pièce est un exercice théâtral qui demande aux acteurs un étalage de ressources théâtrales et émotionnelles presque oubliées ces derniers temps. J’aime savoir que je peux aller à Miami dans un théâtre, où des œuvres comme Strip Poker rafraîchissent la scène et offrent quelque chose de différent, d’étrange et d’unique.
Je ne peux pas m’arrêter de penser à Maria, Pedro, Rosa et Ignacio, chacun est un masque de lui-même et à son tour est l’autre, chacun a une carte dans sa manche et personne ne sait comment ce jeu se terminera. Dehors, c’est la nuit et la vie avec sa roulette russe: mondialisation, affaires avec les Chinois, licenciements massifs mais le drame est à l’intérieur, devant une planche et une partie de poker. »
Lien vers l’article intégral (en espagnol

Photographies

© Pepe Murrieta
© Pepe Murrieta
© Pepe Murrieta
© Pepe Murrieta

 

Retour en haut