Pièces en 3 actes

Pièces en 3 actes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Alors que leurs pères ont décidé de les marier, Sylvia et Dorante ne se sont encore jamais vus. Pour pouvoir "examiner" son fiancé, Sylvia prend la place de sa suivante Lisette. Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que Dorante a eu la même idée et a échangé ses vêtements avec son valet Arlequin. Chacun se méprend sur la véritable condition de l'autre et lutte contre un sentiment qui lui paraît inavouable : la barrière des préjugés, liés aux différences de conditions sociales semble infranchissable. Dorante sera le premier à révéler sa condition de maître. Mais Silvia pousse la comédie jusqu'au bout. Elle veut amener Dorante à renoncer à ses privilèges en acceptant d'épouser une soubrette...

Pinglet, entrepreneur en bâtiment marié à une femme acariâtre, est épris de l'épouse de son ami et associé, l'architecte Paillardin. Celui-ci devant s'absenter pour une expertise, madame Paillardin, lassée de la froideur de son mari, accepte le rendez-vous secret que lui fixe Pinglet. Les deux terminent leur soirée dans un "hôtel borgne", l'hôtel du Libre-Échange. Ce qu'ils ignorent, c'est que Paillardin s'y trouve également. L'hôtel est aussi le lieu de rendez-vous de la bonne de Pinglet et du neveu de Paillardin. Enfin, Mathieu, un ami de province descendu à Paris avec ses quatre filles, y loge lui aussi...

La Samaritaine d’Edmond Rostand Évangile en trois tableaux et en vers, représenté pour la première fois à Paris sur le Théâtre …

Edouard mène une cour assidue auprès de Gabrielle, l'épouse de son ami  Charançon, qui lui-même est très épris de Miranda. Lors d'un dîner intime entre Gabrielle et Edouard, un Commissaire entre par erreur dans le cabinet privé et Gabrielle le gifle. Or Charançon est avocat. Ignorant que c’est sa femme qui est l'accusée, il se fait fort de défendre Edouard et sa maîtresse devant le tribunal correctionnel.

Le baron Courtin est un sénateur bonapartiste d'opposition et académicien, auteur de nombreux ouvrages sur la charité chrétienne. Il préside un foyer charitable pour adolescentes. Plusieurs scandales le menacent : il a détourné l'argent du Foyer, la directrice sadique flagelle les pensionnaires, parfois sous le regard de vieux messieurs,  et une fillette vient de décéder, oubliée dans un placard. Pour échapper à la prison et à la ruine, Courtin se résout à demander de l'aide  à l’ancien amant de sa femme Thérèse, Biron, qui lui propose un marché. Biron récupère de manière indirecte le Foyer, pour exploiter encore davantage le travail des fillettes. Contre le silence de Courtin dans un débat important à la Chambre, le gouvernement ne le poursuit pas. Enfin, Thérèse se dévouera pour renouer avec son ancien amant.

Faribol, un musicien volage,  avoue ses frasques  dans son sommeil et révèle l’adresse de son prochain rendez-vous. Sa femme, Alexandra, décide de "pincer" son mari et se rend à la fameuse adresse. Elle le menace : œil pour œil, dent pour dent, si il la trompe, elle en fera de même.

Dans un régiment de cavalerie principalement constitué de tire-au-flanc, le capitaine débonnaire Hurluret fait son possible pour protéger ses hommes contre la vindicte des petits chefs. Un général en tournée d’inspection découvre tous ces petits arrangements pris avec le règlement. Cette pièce donne lieu à une galerie de personnages pittoresques : brigadier inventant des motifs de punition (Bourre), chef faisant faire son travail (Favret),  brute galonnée, stupide et agressive (Flick), tire-au-flanc voleur (Fricot), un première classe qui se plaint de la nourriture (Joberlin), un bagarreur (Ledoux), une cantinière acariâtre (Madame Bijou), un jeune officier inexpérimenté (Mousseret), un réserviste joyeux drille (Potiron), un pauvre militaire qui écope des punitions les plus injustes (Vanderague)...

Dutrécy est un homme égoïste et peu scrupuleux. Il tente avec son ami De la Porcheraie d'acquérir un domaine en dépossédant le propriétaire, car ils ont appris par des indiscrétions qu'une nouvelle rue allait être percée. Sa vie est également perturbée par le retour de pension de sa nièce Thérèse, qui vient d'être demandée en mariage, et par le retour du Brésil de son neveu Armand.

Le premier acte se déroule dans le bureau-magasin de vente du garage Grosbois. Le mécanicien Etienne a un rêve : celui de participer à une course automobile. Il est amoureux de Gabrielle, la nièce de la patronne (en réalité sa fille). Rudebeuf, le fameux constructeur automobile est également tombé amoureux de Gabrielle et propose un marché : Etienne pourra courir sur sa voiture si il lui laisse Gabrielle. Mais Etienne refuse tout net, d'autant plus que Gabrielle et lui  se sont mariés en cachette.... Arrive Le Brison, également un constructeur automobile qui propose à Etienne de courir, poussé par sa maîtresse Phèdre, qui a le béguin pour Etienne...

Angelo, tyran de Padoue de Victor Hugo Drame en prose, divisé en trois journées, représenté pour la première fois au Théâtre-Français le …

Deux hommes qui ne connaissent rien à la vie et aux femmes (des merles blancs), Alidor et son précepteur Mouillebec, sont envoyés à Paris par le futur beau-père d'Alidor, M. de Mondésir. Ils sont confiés à Rosa de Saint-Albano, une actrice qui entretient une liaison avec un riche américain, rustre et jaloux, William Track. Alidor tombe amoureux de Rosa et Mouillebec n'est pas insensible aux charmes de la servante, Nini Taupin. Pour ne pas les quitter et ne pas exciter la jalousie de Track, ils se font passer respectivement pour un cuisinier et un domestique.

Un Perdreau de l’année de Tristan Bernard Comédie en trois actes et en prose, représentée pour la première fois sur la …

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