Monologues

Monologues pour un comédien ou une comédienne présents sur Libre Théâtre (texte intégral)

 

Une histoire de belle-mère qu'on "wagnérise" à l'Hôtel Colonne, que l'on donne pour morte, mais qui reprend vie alors que son cercueil est commandé... Le cercueil est alors transformé en malle, qui sera prise pour le cercueil d'un anarchiste...

- Chou ! cria Monsieur à Madame allongée à son côté, puisque tu as fini de le lire, passe-moi donc l'Echo de Paris, que je voie un peu les nouvelles.

Georges Feydeau divague sur l'élixir inventé par Brown-Séquard, en faisant intervenir notamment Louise Michel ou Jules Grévy.

Complainte du pauv’ propriétaire de Georges Feydeau Dernier monologue écrit par Feydeau en 1916 et publié en 1916 à la Librairie …

Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.

La leçon de vélo de Tristan Bernard par Georges Courteline

Une jeune fille de 17 ans poste un billet à son amoureux "Ernest, enlevez-moi !"... elle commence à rêver puis finit par se demander si tout cela est bien raisonnable...

Suis-je vraiment trop vieux... Monologue d'un homme qui se demande face à une jeune femme si il est vraiment trop vieux...

Impossible d'acheter quoi que ce soit avec une grosse coupure... ni tabac, ni violette pour faire plaisir à Ninette...

On veut réformer la Constitution ! C’est parfait ! je ne la connais pas, moi, cette Constitution ; mais il est évident qu’elle a besoin de réparations parce qu’il n’est pas de si bonne Constitution qui ne se détériore avec le temps. Alors il s’est agi de s’entendre. C’est pour cela qu’on a réuni le Congrès… et on n’a rien entendu du tout ! On a crié si fort, qu’il n’y a que les sourds qui ont entendu quelque chose, et que ceux qui entendaient en sont revenus sourds. Eh ! bien, pendant qu’on criait, je l’ai trouvé le remède ; je l’ai trouvé dans le journal. Pour les constitutions faibles, demander le fer Bravais ! Eh bien, voilà votre affaire ! le fer ! tout le monde aux fers ! C’est le seul moyen d’avoir un peuple libre et indépendant. Eh ! bien, alors, vling ! vlan ! réformons !

Vous n’avez jamais vu d’idiots, vous ? Eh bien ! regardez-moi !… J’en ai vu comme vous n’en verrez jamais !

L'histoire d'un pauvre jeune homme, accusé du meurtre de sa tante

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