Sketchs ou saynètes

Sketchs ou saynètes présents dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

La Maîtresse de Jules Renard Comédie parue en plusieurs épisodes dans le Rire, du 16 novembre 1895 au 4 janvier 1896, …

Les Plaisirs du Dimanche de Tristan Bernard Saynète représentée au Sporting Club, le 31 mars 1925, puis en janvier 1932 au Théâtre …

Cochon de cocher, qui me dit : « Ne bougez pas, je reviens. Le temps d'aller satisfaire un besoin... » et qui ne donne plus signe de vie !... Ce que je le plaquerais de bon cœur, lui et son fiacre, s'il était facile, possible même, de trouver, gare de Lyon, à trois heures du matin, un cocher acceptant de vous conduire à Levallois pour la somme de quarante-cinq sous !

Grandeur d’âme de Georges Courteline Extrait des Ombres parisiennes. Distribution : 3 hommes (et figurants) Texte à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre Une …

A trois heures du matin, le jeune Théodore rentre chez lui après une fête, complètement ivre. Dans les escaliers de son immeuble, il dérange tous les voisins. Puis, cherchant des allumettes dans son appartement, il réveille son père qui est furieux de sa conduite.

La scène est divisée en deux. A droite, le cabinet du Ministre, vide au lever du rideau. A gauche, le bureau des expéditionnaires occupé par quatre employés : Choupouri, Ledrubète, Pancréas et Sainpol-Mépiè. Ces messieurs sont plongés dans l'ardeur du travail : Pancréas et Sainpol-Mépiè jouent une canette au zanzibar ; Ledrubète épluche des œufs durs, tandis que Choupouri, gravement, s'apprend à faire le cul-de-jatte. Un téléphone relie les deux pièces l'une à l'autre

La Brige monte dans un fiacre pour se rendre à la place de la Bastille prendre le train pour Vincennes. Le cocher met toute la mauvaise volonté possible et arrive largement après le départ du train. La Brige demande alors au cocher de le mener à la "barrière de Vincennes". Le cocher refuse et La Brige demande qu'on appelle un agent...

La Partie de bridge de Tristan Bernard Saynète représentée au Théâtre de la Michodière le 24 avril 1937. Retraitement par Libre …

Rue...rue...rue des Troubadours. Pas encore ça, nom d'un tonneau ! Ah ! c'est égal, c'est un peu épatant de penser que je ne puisse pas réussir à trouver la rue de la Pompe !... (Il redescend de sa borne et allume une cigarette.) Ce qui m'arrive est fantastique !. Venu à Paris pour huit jours...(je suis de Cancale…) et descendu... (il n'y a pas de sotte patrie...) chez mon beau-frère, Courgougniou, 344, rue de la Pompe, je commis l'imprudence de venir seul, tantôt, visiter la nouvelle église du Sacré-Cœur.

Vrai, on a beau être édifié sur l'ignorance du public, il y a toujours des surprises et il est des gens tellement bêtes que ce serait à leur fiche des gifles. Ainsi vous voyez bien cette dame, n'est-ce pas ? Elle arrive il y a cinq minutes et me déclare avec la même tranquillité que je mets à vous le redire : - Monsieur, je désirerais avoir trois gueules de bois.

Toutes ces saynètes et monologues ont pour sujet un "illustre écrivain" ou un "grand écrivain" et sont une satire féroce des pseudo-littérateurs, vaniteux et sans talent (Chez l'Illustre écrivain, Littérature), spécialistes dans la mise en scène des adultères (Une bonne affaire, Un grand écrivain).

Un dramaturge en plein labeur de Tristan Bernard Saynète. Retraitement par Libre Théâtre à partir du recueil Théâtre sans directeur (Editions …

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