Drames
Drames présents dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
L’Aiglon d’Edmond Rostand Drame en six actes et en vers, représenté pour la première fois au Théâtre Sarah-Bernhardt, le 15 mars …
Drame en 4 actes avec prologue et épilogue, écrit entre 1907 et 1915 et publié en 1921 (deux ans après le décès de Victor Segalen). Orphée-Roi est une oeuvre remarquable par son traitement original du mythe d’Orphée, par son lyrisme et surtout comme expérimentation concrète d’une authentique synesthésie.
La Dernière Nuit de Don Juan d’Edmond Rostand Poème dramatique en deux parties et un prologue, écrite en 1911. Publié de …
Inez de Castro de Victor Hugo Mélodrame en trois actes, avec deux intermèdes. C’est une oeuvre de jeunesse, écrite entre 1816 …
L’Épée de Victor Hugo Drame en 5 scènes et en vers. Ecrit en 1869, ce drame fait partie du recueil Théâtre …
Maître Favilla de George Sand Drame en trois actes et en prose, représenté pour la première fois le 15 septembre 1855 …
La Révolte d'Auguste de Villiers de l'Isle-Adam Drame publié en 1870 et créé le 6 mai 1870 au Théâtre du Vaudeville.
Cromwell de Victor Hugo Drame romantique édité en 1827. Représenté pour la première fois, en 1956, dans une version abrégée d’Alain …
René va bientôt épouser Germaine. Malheureusement le nom de sa mère, Mme de Sorges, "a été calomnié indignement par un journaliste infâme… un de ces écrivassiers tarés qui trouvent un renom facile en versant le venin sur tout ce qu’il y a de saint et de respectable". René doit se battre en duel pour laver l'honneur de sa mère.
Torquemada de Victor Hugo Drame en cinq actes et en vers, écrit en 1869, publié en 1882. Jamais représenté du vivant de …
Leçon sur la religion et l'amour donné par un mendiant philosophe, en haillons, prénommé Mouffetard au Marquis Gédéon
La Nouvelle Idole de François de Curel. Albert Donnat, médecin réputé et professeur à l’Ecole de médecine, a commis un acte irréparable. Travaillant sur le cancer et soignant une jeune religieuse phtisique dont le diagnostic laisse présager sa mort prochaine, il lui inocule une tumeur pour en pouvoir suivre l’évolution. Le scandale de ses expérimentations humaines est dévoilé par la presse. Sa femme le rejette violemment, dans un premier temps, et essaie de trouver du réconfort auprès d’un jeune psychologue expérimental. La jeune fille guérit miraculeusement de sa phtisie, après avoir bu de l’eau de Lourdes, sans savoir qu’elle va bientôt mourir d’un autre mal : le savant constate que le cancer « inoculé » se développe à grande vitesse dans le corps de la patiente. Albert décide alors de s’injecter à son tour les cellules cancéreuses.