Pièces pour 6 comédiens ou comédiennes
Œuvres théâtrales pour 6 comédiens ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Le seul bandit du village de Tristan Bernard Vaudeville en un acte, représenté pour la première fois sur la scène du …
Comédie en un acte et en prose de Marivaux représentée pour la première fois par les Comédiens Français, le 11 janvier 1736.
Edgard, un jeune homme, doit aller avec sa mère signer son contrat de mariage avec la riche Henriette de Veauvardin. Mais il a une liaison avec Florestine, sa femme de chambre, qui ne compte pas le laisser ainsi s'échapper. Sous la menace de la jeune femme, Edgard simule une rage de dents. Qu'à cela ne tienne, Veauvardin, désireux de conclure le mariage, arrive chez Edgard avec le notaire et les invités. Florestine met alors tout en oeuvre pour faire échouer le mariage.
Télécharger gratuitement la pièce en texte intégral sur Libre Théâtre. L'Argument Justin est domestique chez Boriquet. Il a des talents d'hypnotiseur qu'il utilise avec son maître pour lui faire accomplir des tâches ménagères à sa place. Il montre ses talents à un autre valet Eloi. Mais Boriquet projette de se marier. Justin va tout mettre en oeuvre pour empêcher ce mariage. Malheureusement pour lui, le père de la fiancée, Emilienne, n'est autre que le Docteur Valencourt médecin spécialiste en hypnose et magnétisme, la « gloire de l'école de Nancy » ! Une courte comédie de boulevard qui joue sur le comique de situation et
Roquefavour, un jeune artiste plein de dettes, se rend chez Fontenage, son créancier. Il lui propose ses meubles en gage. Defontenage accepte le marché et Roquefavour s’installe confortablement, en s'attirant les bonnes grâce de la domesticité et les faveurs de la maîtresse de maison.
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l'Académie d'Etampes, et propriétaire d'une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu'il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l'académicien d'Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu'on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n'épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c'est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c'est que ce fils n'est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s'habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l'endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.
Mme de Brée, jeune veuve richement dotée, va se marier avec son cousin Chabriac, homme rustre et cupide. Valory, un jeune avocat va mettre en œuvre un stratagème pour faire échouer ce mariage : voler dans le bureau de Mme de Brée les 300 000 francs afin que Chabriac renonce au mariage. Tout ne se passe pas comme prévu car Chabriac se rend aussi secrètement dans la même pièce...
Léonie est sur le point d'accoucher, avec un mois d'avance. Son mari, Monsieur Toudoux, subit reproches, de caprices et de mesquineries de la part de sa jeune épouse, de ses beaux-parents, les Champrinet qui avaient désapprouvé le mariage et de la sage-femme, la redoutable Madame Virtuel. Le malheureux époux doit même accepter de se coiffer d'un pot de chambre.
Marchavant, rentier aisé, achète à une baronne, jeune veuve, le château familial. Le contrat prévoit aussi la vente de "tout le mobilier, sauf le linge de table et de corps", mais la vendeuse désire conserver aussi les oeuvres complètes de Voltaire, que lisait feu son mari, afin de les brûler, comme elle l'a promis à son confesseur. Mais Marchavant ne l'entend pas ainsi...
Trébuchard lorsqu'il était étudiant a dû épouser sa logeuse, la veuve Arthur, pour pouvoir payer ses nombreuses dettes. Quand la pièce commence, il a 29 ans ; la veuve est morte en lui laissant un petit héritage et la charge de sa fille Blanche, née d'un premier lit. Trébuchard voudrait épouser la jeune Claire Prudenval, mais il ne lui a pas avoué qu'il avait une fille... de 48 ans. Claire et son père arrivent chez Trébuchard.
Madame Grumelot découvre un beau jour que sa nièce, Adèle, est trompée par son mari Léon, un avocat... Monsieur Grumelot, son mari, lui apprend que c'est avec Hortense, la femme de Monsieur Hocquard dont il est l'avocat... Monsieur Hocquard vient annoncer à Adèle qu'il a des soupçons... Adèle, jalouse, fait une scène à son mari et le menace de se rendre au bal de l'Opéra... l'endroit précisément où Léon doit retrouver Hortense, qui s'y trouve avec son amie, la blonde Madame De Valin... Pour éloigner Madame de Valin, Léon demande à son beau-père Monsieur Grumelot de l'accompagner. Mais Madame Grumelot et Adèle vont mettre en oeuvre "les petits moyens" pour les faire renoncer...
M. et Madame Potard, marchands de porcelaine se font appeler Baron et Baronne de Fourchevif, depuis l'achat de la terre de Fourchevif dix-huit ans auparavant. L'arrivée d'un jeune peintre qui prétend être le dernier descendant de cette famille noble les met en difficulté, alors qu'ils préparent le mariage de leur fille et que Fourchevif veut se présenter aux élections.
