Pièces pour 6 comédiens ou comédiennes
Œuvres théâtrales pour 6 comédiens ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Le Major Cravachon veut marier sa fille Olympe. Il souhaite, pour celle-ci, un mari à la hauteur et ne cesse de mettre à la porte le moindre prétendant. Pour savoir ce qui se passe lors des rencontres entre son père et les jeunes hommes qui se présentent, Olympe demande à Amélie, une amie, de se faire passer pour un prétendant. Se présente également devant le Major Cravachon le jeune Dervièves, au caractère tempétueux qu'il tente de dompter pour plaire à Olympe.
Monsieur, son chapeau sur la tête. Hé bien, je file. Si on vient pour le gaz, tu diras que j'irai payer. Ah ! il est également à craindre que l'on vienne de chez Dufayel ; tu diras qu'on repasse demain ou samedi... dans quelques jours, quoi !... Cré saleté de purée ! quand est-ce donc que ça finira ?...J'ai écrit à Ferdinand pour lui emprunter dix louis, mais je doute que ça réussisse. Enfin ! Au revoir. (A l'enfant, qui s'amuse dans un coin, avec un bouchon.) Tu seras bien sage, hein, Toto, pendant que je serai sorti ?
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l'Académie d'Etampes, et propriétaire d'une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu'il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l'académicien d'Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu'on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n'épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c'est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c'est que ce fils n'est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s'habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l'endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.
Bettine d’Alfred de Musset Comédie en un acte et en prose, publiée en 1851 et représentée pour la première fois sur …
Adolphe est invité à passer une journée à la campagne, chez les Pomadour. Le vin et la chaleur l'entraine à embrasser Madame Pomadour. Le mari surprend la scène et le provoque en duel, en espérant qu'Alphonse ne se défendra pas.
Fantaisie musicale en une scène, avec un récitant, un chœur masculin et un chœur féminin (choeur des vierges).
Dégodin a un superbe appartement en face du jardin du Luxembourg à Paris : son bail précise que si Madoulay vient à se marier, il devra déménager. Il fait courir dans tout Paris des rumeurs terribles sur le jeune Madoulay, rumeurs qui viennent aux oreilles de Madoulay qui vient rendre visite incognito à Dégodin pour comprendre pourquoi il lui en veut et fait ainsi échouer ses projets de mariage. Par ailleur Dégodin a une fille qu'il souhaite marier rapidement, car il ne supporte plus son piano...
Les Romanesques d’Edmond Rostand Comédie en trois actes et en vers représentée pour la première fois sur la scène de la …
Mme de Brée, jeune veuve richement dotée, va se marier avec son cousin Chabriac, homme rustre et cupide. Valory, un jeune avocat va mettre en œuvre un stratagème pour faire échouer ce mariage : voler dans le bureau de Mme de Brée les 300 000 francs afin que Chabriac renonce au mariage. Tout ne se passe pas comme prévu car Chabriac se rend aussi secrètement dans la même pièce...
La Partie de bridge de Tristan Bernard Saynète représentée au Théâtre de la Michodière le 24 avril 1937. Retraitement par Libre …
Madame Bonacieux est un vrai tyran domestique. Sa fille Blanche va se marier avec Henri : toute la famille attend l'oncle Léon qui doit se présenter pour faire la demande. Malheureusement Léon a aussi mauvais caractère que Mme Bonacieux et le mariage manque d'être annulé... jusqu'à ce que Mme Bonacieux découvre que Léon n'est autre que l'homme qu'elle a jadis aimé...
M. et Madame Potard, marchands de porcelaine se font appeler Baron et Baronne de Fourchevif, depuis l'achat de la terre de Fourchevif dix-huit ans auparavant. L'arrivée d'un jeune peintre qui prétend être le dernier descendant de cette famille noble les met en difficulté, alors qu'ils préparent le mariage de leur fille et que Fourchevif veut se présenter aux élections.
