Pièces pour 6 comédiens ou comédiennes
Œuvres théâtrales pour 6 comédiens ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
M. et Madame Potard, marchands de porcelaine se font appeler Baron et Baronne de Fourchevif, depuis l'achat de la terre de Fourchevif dix-huit ans auparavant. L'arrivée d'un jeune peintre qui prétend être le dernier descendant de cette famille noble les met en difficulté, alors qu'ils préparent le mariage de leur fille et que Fourchevif veut se présenter aux élections.
Un maître d’hôtel expérimenté (Alfred) et sa femme, la caissière (Philomèle), préparent l'arrivée de couples, accueillis dans les cabinets particuliers d'un restaurant. Deux amis (Paturon et Gigolet) s'y retrouvent par hasard lors d'un rendez-vous galant avec des "cocottes" (Pervenche et Giboulette), qui tentent maladroitement de se faire passer pour d’honorables femmes du monde…
La scène est divisée en deux. A droite, le cabinet du Ministre, vide au lever du rideau. A gauche, le bureau des expéditionnaires occupé par quatre employés : Choupouri, Ledrubète, Pancréas et Sainpol-Mépiè. Ces messieurs sont plongés dans l'ardeur du travail : Pancréas et Sainpol-Mépiè jouent une canette au zanzibar ; Ledrubète épluche des œufs durs, tandis que Choupouri, gravement, s'apprend à faire le cul-de-jatte. Un téléphone relie les deux pièces l'une à l'autre
Mme de Brée, jeune veuve richement dotée, va se marier avec son cousin Chabriac, homme rustre et cupide. Valory, un jeune avocat va mettre en œuvre un stratagème pour faire échouer ce mariage : voler dans le bureau de Mme de Brée les 300 000 francs afin que Chabriac renonce au mariage. Tout ne se passe pas comme prévu car Chabriac se rend aussi secrètement dans la même pièce...
Lucidor, riche bourgeois venu de Paris, est tombé malade à la campagne et a été soigné par une famille d’honnêtes propriétaires campagnards peu fortunés. Il est tombé amoureux de la jeune Angélique, mais souhaite la mettre à l'épreuve : il lui présente un riche prétendant en fait, son valet Frontin. Maître Blaise, un riche fermier souhaite aussi l'épouser...
Un fils accompagne sa mère à une visite et porte les pétunias qu'ils vont offrir. Il souffre du comportement de sa mère qui le ridiculise. Une récitante et un choeur commentent la situation.
Marchavant, rentier aisé, achète à une baronne, jeune veuve, le château familial. Le contrat prévoit aussi la vente de "tout le mobilier, sauf le linge de table et de corps", mais la vendeuse désire conserver aussi les oeuvres complètes de Voltaire, que lisait feu son mari, afin de les brûler, comme elle l'a promis à son confesseur. Mais Marchavant ne l'entend pas ainsi...
Félicie de Marivaux Comédie en un acte et en prose de Marivaux, imprimée dans le Mercure de France de mars 1757. …
Le seul bandit du village de Tristan Bernard Vaudeville en un acte, représenté pour la première fois sur la scène du …
Le Domino à quatre de Henry Becque Comédie en un acte, publiée en 1897 dans la revue La Vie Parisienne, représentée …
Comédie en un acte et en prose de Marivaux représentée pour la première fois par les Comédiens Français, le 11 janvier 1736.
Piégelé costumé en guerrier du moyen-âge ne connaît pas son texte et entend mal les répliques dites par le souffleur.
