Comédies
Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Cochon de cocher, qui me dit : « Ne bougez pas, je reviens. Le temps d'aller satisfaire un besoin... » et qui ne donne plus signe de vie !... Ce que je le plaquerais de bon cœur, lui et son fiacre, s'il était facile, possible même, de trouver, gare de Lyon, à trois heures du matin, un cocher acceptant de vous conduire à Levallois pour la somme de quarante-cinq sous !
Un fils accompagne sa mère à une visite et porte les pétunias qu'ils vont offrir. Il souffre du comportement de sa mère qui le ridiculise. Une récitante et un choeur commentent la situation.
Le Costaud des Epinettes de Tristan Bernard et Alfred Athis Comédie en trois actes et en prose, représentée pour la première …
Bref, j’ai raté mon mariage… Et j’ai toujours mon mal aux dents.
Le Départ de Henry Becque Comédie en un acte, représentée pour la première fois sur le théâtre national de l’Odéon, le …
Ces saynètes de Courteline sont issues des chroniques régulières parues dans L’Echo de Paris, sous le titre Ombres Parisiennes et signées Jean de la Butte, en l’honneur de Montmartre.
Chateaugredin se prépare à passer une bonne soirée : sa femme est en vacances à Deauville, il vient d'hériter de sa tante et pour célébrer sa fête, il va se faire livrer un bon dînez chez sa maîtresse, une de ses locataires Anaïs de Ripincel. Mais sa femme rentre de manière inopinée : Chateaugredin va devoir modifier son programme, avec la complicité des deux domestiques qu'il a engagés au service d'Anaïs.
Carmosine d’Alfred de Musset Comédie en trois actes et en prose, publiée en 1850 dans le Constitutionnel et représentée le 7 …
L’Heureux Stratagème de Marivaux Comédie en trois actes et en prose créée pour la première fois le 6 juin 1733 par …
Un commissaire tyrannique mais poltron reçoit différents plaignants.
Sur la scène, derrière le rideau, un soir de première. La herse, qui brûle dans les frises, éclaire un intérieur de palais moyen âge. Piégelé joue l'évêque de Narbonne. Le régisseur a dû mal avec ses comédiens alors que le rideau va se lever.
Rue...rue...rue des Troubadours. Pas encore ça, nom d'un tonneau ! Ah ! c'est égal, c'est un peu épatant de penser que je ne puisse pas réussir à trouver la rue de la Pompe !... (Il redescend de sa borne et allume une cigarette.) Ce qui m'arrive est fantastique !. Venu à Paris pour huit jours...(je suis de Cancale…) et descendu... (il n'y a pas de sotte patrie...) chez mon beau-frère, Courgougniou, 344, rue de la Pompe, je commis l'imprudence de venir seul, tantôt, visiter la nouvelle église du Sacré-Cœur.