Comédies

Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Follentin, est un fonctionnaire râleur qui ne cesse de maugréer contre son époque. Il vient d'hériter d'une grosse somme et a engagé des dépenses, mais malheureusement l'héritage ne lui sera pas versé dans l'immédiat...Les difficultés se multiplient et n'a qu'un seul souhait changer d'époque. Sur les conseils de sa femme et de sa fille, il se résout à aller se coucher et s'endort en écoutant sa fille lui lire le roman de Dumas La Reine Margot.

La Dame aux jambes d’azur d’Eugène Labiche Pochade en un acte d’Eugène Labiche et Marc-Michel, représentée pour la première fois sur …

La scène se passe à la poste. La Brige a reçu une lettre chargée d'un de ses amis. Cette lettre est à son nom mais adressée au ministère de l’Intérieur. Bien que l'employé connaisse la Brige qu'il a croisé chez les Crottemouillaud, il ne peut lui remettre la lettre car celui-ci doit justifier son identité. Malgré les différentes preuves qu'apporte la Brige, l'employé ne peut lui remettre la lettre.

De retour d'une soirée, scène de ménage. Lui est jaloux, mais aussi terriblement couard. Il ne supporte pas que des hommes fassent la cour à sa femme ni même lui parlent, mais il est incapable de leur demander des comptes. Elle le provoque.

Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d'hiver. C'est son jour de réception mais il est l'unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour.  Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s'achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer.

Un vieux couple le 31 décembre au soir. L'homme explose : il déteste souhaiter la bonne année à sa femme. Insultes et goujateries se succèdent.

Les Lepinois marient leur fille Thérèse à Olivier de Millancey. Sa jeune sœur Laure a des vues sur son cousin Robert, un artiste mais ses parents préfèrent le baron de Mongicourt. Chacun donne à Thérèse quelques conseils avant la nuit de noces. Le mariage passé, Olivier lance sa femme dans le monde lors d'un bal, qui dégénère : Thérèse est extrêmement belle et tous les hommes se pressent autour d'elle, Olivier embrasse Madame de Tremble,  quant à Laure, elle se met à jouer au bacarat...

Un Perdreau de l’année de Tristan Bernard Comédie en trois actes et en prose, représentée pour la première fois sur la …

La scène est divisée en deux. A droite, le cabinet du Ministre, vide au lever du rideau. A gauche, le bureau des expéditionnaires occupé par quatre employés : Choupouri, Ledrubète, Pancréas et Sainpol-Mépiè. Ces messieurs sont plongés dans l'ardeur du travail : Pancréas et Sainpol-Mépiè jouent une canette au zanzibar ; Ledrubète épluche des œufs durs, tandis que Choupouri, gravement, s'apprend à faire le cul-de-jatte. Un téléphone relie les deux pièces l'une à l'autre

Un soldat de carrière est confronté à l'imbécilité et au despotisme absurde de la chose militaire et doit de surcroît se montrer presque maternel avec un frère d’armes totalement ivre.

Chou, le moment est arrivé d'une explication catégorique. Depuis huit jours tu me fais la tête ; je commence à en avoir assez. (Geste de dénégation de Madame.) Oh ! inutile de te défendre. En somme, tu es femme. tu es jeune, tu es… eh ! eh ! (Il regarde d'un œil attendri le peignoir légèrement bombé par devant de Madame) … Chère petite !… (Il lui baise la main.) Tu as donc tous les droits du monde aux faciles dépits et aux petites mauvaises humeurs des enfants un peu trop gâtés. Je désire toutefois qu'aucun malentendu ne trouble notre bonne entente. Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur, j'ai la certitude de n'avoir rien fait ni dit qui justifie un mécontentement de ta part, et cependant, je te le te répète, tu me fais la tête ! Pourquoi ?

Monsieur Chaponais, bourgeois hypocondriaque, a signé un contrat de 10 ans avec son médecin, Monsieur Martaban, pour qu’il le soigne quotidiennement. Martaban s’est installé dans l’appartement au-dessus de celui de Chaponais pour être plus proche de son malade. Ces messieurs sortent régulièrement, avec leurs épouses, aux spectacles de la vie parisienne. Mais M. Chaponais est tourmenté, au grand dam de son médecin : il a trouvé dans l’étui à lunettes de Ninette, sa femme, un petit mot doux du jeune Ernest de Pontfarcy.

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