Comédies
Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)
Les Plaisirs du Dimanche de Tristan Bernard Saynète représentée au Sporting Club, le 31 mars 1925, puis en janvier 1932 au Théâtre …
Un mystère sans importance de Tristan Bernard Saynète, jouée dans une matinée de bienfaisance. Retraitement par Libre Théâtre du recueil Théâtre sans …
La Brige monte dans un fiacre pour se rendre à la place de la Bastille prendre le train pour Vincennes. Le cocher met toute la mauvaise volonté possible et arrive largement après le départ du train. La Brige demande alors au cocher de le mener à la "barrière de Vincennes". Le cocher refuse et La Brige demande qu'on appelle un agent...
Louison d’Alfred de Musset Comédie en deux actes et en vers représentée pour la première fois au Théâtre-Français le 22 février …
Barberine d’Alfred de Musset Éditée en 1835 pour la première fois en deux actes, sous le titre La Quenouille de Barberine, …
Le Plaisir de rompre de Jules Renard Comédie en un acte, représentée pour la première fois le 16 mars 1897, au …
Le 1er janvier, un bourgeois nommé Landhouille établit la liste des étrennes qu’il a reçu (aucune) et celles qu'il a donné à quantité de fâcheux et de casse-pieds. Alors qu’il est au milieu de cet inventaire à la Prévert, d’autres importuns viennent avec insolence réclamer leur part : un cocher de l'"Urbaine"qui l’a renversé lors d’une course en fiacre, un soldat qui se révèle l’amant de sa cuisinière, Louison, son ancienne maîtresse, accompagnée "d'un monsieur bien mis".
Vancouver, un père jaloux, ne peut se résigner à ce que sa fille Isménie se marie et trouve tous les prétextes pour éconduire les prétendants. Dardenboeuf, envoyé par Galathée, vieille fille très riche et soeur de Vancouver, se présente et plaît d'emblée à Isménie.
"Les hommes sont bêtes, bêtes, bêtes, ne m’en parlez pas ! tenez, je souffre. Ah ! Pascal a bien dit : « L’homme est un roseau ! » Oui, un roseau, c’est-à-dire une chose bête, bête, bête. Ah ! c’est que Pascal était un homme crâne, lui, avec son air de bon apôtre ! Je ne sais pas pourquoi l’on dit toujours « l’Agneau Pascal ! » Ne vous y fiez pas !
Georges Feydeau divague sur l'élixir inventé par Brown-Séquard, en faisant intervenir notamment Louise Michel ou Jules Grévy.
Cochon de cocher, qui me dit : « Ne bougez pas, je reviens. Le temps d'aller satisfaire un besoin... » et qui ne donne plus signe de vie !... Ce que je le plaquerais de bon cœur, lui et son fiacre, s'il était facile, possible même, de trouver, gare de Lyon, à trois heures du matin, un cocher acceptant de vous conduire à Levallois pour la somme de quarante-cinq sous !
Juste après la Révolution de Février 1848, un maire de campagne, Pontcharrat, est sommé par le nouveau régime d'organiser dans sa commune un club démocratique. Pontcharrat prépare également le mariage de sa nièce Henriette à Gindinet, l'instituteur. Mais Henriette aime son cousin Cassagnol, un comédien, et le fait venir d'urgence. La réunion du club démocratique et la présentation des futurs candidats aux élections va donner l'occasion à Cassagnol de montrer ses talents en interprétant successivement Jean-Louis, dit le Corinthien, un ouvrier, puis le citoyen Grand-Bagout, un économiste et enfin, l’illustre général Chauvinancourt.
