Comédies

Comédies présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Monsieur et Madame Veauluisant ont décidé de renvoyer la nourrice Justine à cause de la légèreté de ses mœurs, et de la remplacer par une autre. Un jeune clerc de notaire, Balivet, amoureux de Justine, arrive et essaie de la séduire. Mais le domestique Médard le surprend et menace de le tuer. Le clerc de notaire se réfugie dans la chambre de Justine et en ressort habillé en nourrice.

Les deux trouvailles de Gallus : Margarita de Victor Hugo Comédie en un acte et en vers, représentée pour la première …

Le riche négociant, Vanderk, marie sa fille. Le même jour, son fils doit se battre en duel contre un officier qui a traité tous les commerçants de fripons. Considérant que son père a été insulté, le fil provoque l'officier en duel. L'atmosphère de fête liée au mariage est assombri par la perspective de ce duel. La scène centrale de la pièce met en scène l'échange entre le père et le fils : le fils se demande si son père a réellement été insulté et s'il ne risque pas de tuer un innocent. Le père condamne le duel, « préjugé funeste » et « abus cruel du point d'honneur », mais il ne détourne pas son fils de son projet pour sauver son honneur.

Léonie est sur le point d'accoucher, avec un mois d'avance. Son mari, Monsieur Toudoux, subit  reproches, de caprices et de mesquineries de la part de sa jeune épouse, de ses beaux-parents, les Champrinet qui avaient désapprouvé le mariage et de la sage-femme, la redoutable Madame Virtuel. Le malheureux époux doit même accepter de se coiffer d'un pot de chambre.

Bref, j’ai raté mon mariage… Et j’ai toujours mon mal aux dents.

L’enlèvement de Henry Becque Comédie en trois actes représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Vaudeville le …

Lobligeois et Rotanger ont une belle boutique et une bonne enseigne : "Au Castor Laborieux". Mais ils ne cessent de se disputer depuis qu'ils se sont mariés et les épouses mettent de l'huile sur le feu... la dispute se concentre sur le cachemire X.B.T. dont personne ne veut  : c'est  un joli châle pour l'un, une horreur pour l'autre...

Minuit et demi ! Et Coco, qui devait être ici à onze heures ! Du reste je m'y attendais ; comme je lui ai dit très bien : « Tu me fais rire avec tes onze heures ; si tu es rentré à minuit, ce sera encore bien joli !... C'est même assez extraordinaire que tu ne puisses aller à ce banquet des Pieds-Gelés sans en revenir à des heures extravagantes. Ce que j'avais raison ! il est minuit trente-cinq... Sale bête. Tu vas me payer ça en rentrant.

Deux hommes qui ne connaissent rien à la vie et aux femmes (des merles blancs), Alidor et son précepteur Mouillebec, sont envoyés à Paris par le futur beau-père d'Alidor, M. de Mondésir. Ils sont confiés à Rosa de Saint-Albano, une actrice qui entretient une liaison avec un riche américain, rustre et jaloux, William Track. Alidor tombe amoureux de Rosa et Mouillebec n'est pas insensible aux charmes de la servante, Nini Taupin. Pour ne pas les quitter et ne pas exciter la jalousie de Track, ils se font passer respectivement pour un cuisinier et un domestique.

Lucidor, riche bourgeois venu de Paris, est tombé malade à la campagne et a été soigné par  une famille d’honnêtes propriétaires campagnards peu fortunés. Il est tombé amoureux de la jeune Angélique, mais souhaite la mettre à l'épreuve : il lui présente un riche prétendant en fait, son valet Frontin. Maître Blaise, un riche fermier souhaite aussi l'épouser...

Comédie en cinq actes et en prose, représentée pour la première fois sur la scène du Palais-Royal le 9 septembre 1668.  Texte à télécharger sur Libre Théâtre, illustrations, dossiers pédagogiques, ressources sur l'INA

M. Boissonnade, procureur de la République est très ennuyé. Le gendarme Labourbourax, susceptible et inculte, est le champion du procès-verbal pour outrage à agent. Il sanctionne notamment tous ceux qui prononcent diverses expressions populaires ou savantes, dans lesquelles il entend des injures, faute d’en saisir le sens. Il s'en prend au baron Larade, homme affable et pacifique qu’il pousse à bout par sa sottise.

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