Monologues

Monologues pour un comédien ou une comédienne présents sur Libre Théâtre (texte intégral)

 

L'histoire d'un pauvre jeune homme, accusé du meurtre de sa tante

Non, mais c’est si simple ! Vous voulez être riche ? Soyez économe ! Je l’ai été toute ma vie, moi ! Aussi, aujourd’hui, j’ai une grosse fortune, je suis très heureux : je me refuse tout. Et quand je mourrai, eh bien ! j’aurai beaucoup d’argent… Enfin, voyons ! ça n’est pas l’idéal, ça ?

une Avignonnaise part à l'enterrement de son oncle à Marseille, sans son mari. Elle se trompe de train et se retrouve à Paris, aux Antipodes... Sa naïveté la mènera dans une loge de concierge parisienne, au théâtre puis à l’Elysée-Montmartre (qu'elle confond avec l'Elysée) et enfin au Grand-Hôtel, accompagnée par un "ami de son mari".

J'ai fait hier un rêve symbolique, dont je ne suis pas mécontent.

Complainte du pauv’ propriétaire de Georges Feydeau Dernier monologue écrit par Feydeau en 1916 et publié en 1916 à la Librairie …

Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.

Monsieur de Couacanlaire, "ténor léger de salon", donne un récital et voulant joindre le geste à la parole, veut prendre un mouchoir, qui reste coincé dans son habit...

On veut réformer la Constitution ! C’est parfait ! je ne la connais pas, moi, cette Constitution ; mais il est évident qu’elle a besoin de réparations parce qu’il n’est pas de si bonne Constitution qui ne se détériore avec le temps. Alors il s’est agi de s’entendre. C’est pour cela qu’on a réuni le Congrès… et on n’a rien entendu du tout ! On a crié si fort, qu’il n’y a que les sourds qui ont entendu quelque chose, et que ceux qui entendaient en sont revenus sourds. Eh ! bien, pendant qu’on criait, je l’ai trouvé le remède ; je l’ai trouvé dans le journal. Pour les constitutions faibles, demander le fer Bravais ! Eh bien, voilà votre affaire ! le fer ! tout le monde aux fers ! C’est le seul moyen d’avoir un peuple libre et indépendant. Eh ! bien, alors, vling ! vlan ! réformons !

Bref, j’ai raté mon mariage… Et j’ai toujours mon mal aux dents.

Des monologues ! a-t-on idée de cela ! Si j’étais la préfecture de police, je les défendrais ! C’est faux ! Archi-faux ! Un homme raisonnable ne parle pas tout seul ; il pense, et alors il ne parle pas ! C’est ce qui le distingue des fous qui parlent et qui ne pensent pas. Admettre le monologue, c’est rabaisser l’humanité ! On devrait le défendre ! cela me rend malade !

C’est le trouble, l’inquiétude, Un tracas de tous les instants ! Tout, sans espoir de gratitude… A quoi ça sert-il, les Enfants ?

Le Dernier Jour d’un Condamné de Victor Hugo Ce texte a été publié en février 1829 sans nom d’auteur. Il a …

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