4 personnages

Antoinette ou Le Retour du Marquis de Tristan Bernard

Saynète, jouée au au théâtre du Casino d’Enghien, en représentation exceptionnelle, et reprise le 10 octobre 1903 au Théâtre des Mathurins.
Elle devrait être initialement créée le 6 juin 1901 à l’Opéra pour une soirée au bénéfice de Mme Marie Laurent (jouée par Mmes Jeanne Granier, Marie Manier, Lavalliers et MM. Guitry, Cooper, Brasseur et Guy, mais deux des interprètes renoncèrent à leurs rôles quelques jours avant la représentation.) Extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 3 hommes, 1 femme
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L’argument

Dans un théâtre, depuis un balcon, une femme apostrophe le régisseur qui n’a pas nommé parmi les comédiens sa fille. Deux hommes parmi le public dans l’orchestre lui intiment l’ordre de se taire. Lorsque la pièce commence, elle commente l’action, annonce l’arrivée sur scène de sa fille.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9008281x/f1.item
Enghien Les Bains, Théâtre, Casino municipal, établissement thermal moderne [affiche] / Dessin : Raymond Tournon / Guillet : lithographie. Source : BnF/Gallica

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Les Plaisirs du Dimanche de Tristan Bernard

Saynète représentée au Sporting Club, le 31 mars 1925, puis en janvier 1932 au Théâtre Tristan Bernard, extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 3 hommes, 1 femme
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L’argument

Tout le monde s’ennuie le dimanche chez les Commercy. M. Commercy n’a qu’une envie : c’est d’aller faire un bridge au club avec son ami Larcadier. Tony espère passer une après-midi seule avec Mme Cormmercy… mais un coup de téléphone change tous les plans : ils sont invités à  aller au théâtre.

Extrait

Larcadier. – Moi, j’ai été marié, je ne le suis plus. Ma femme l’est encore.
Tony. – Comment cela ?
Larcadier. – C’est-à-dire qu’elle s’est remariée. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Les femmes n’ont pas de mémoire. Quand il a été question de divorcer, nous nous sommes précipités avec ivresse dans le célibat. Seulement, moi, j’y suis resté, parce que je n’avais pas oublié ce que c’était que le mariage. Tandis qu’elle, frivole, elle a recommencé. Enfin, la question n’est pas là ; il y a quinze ans que ça s’est passé. Elle m’a trompé avec un grand nombre d’amis à moi, dont cet imbécile de Commercy qui était garçon alors… Je ne vous dis pas cela pour vous inciter à lui rendre la pareille… Il ne sait pas que je le sais ; autrement, ça me gênerait pour le fréquenter. Si j’avais eu l’air de savoir, je me serais fermé un certain nombre de portes. Mais, hélas ! je le savais toujours. Ma femme ne manquait pas de me le dire elle-même chaque fois. Elle avait une rage de confidences, et, comme elle n’avait pas d’amis intimes, et que j’étais, somme toute, la personne avec laquelle elle était le plus liée, c’était à moi qu’elle venait raconter tout ça ! Chaque fois qu’elle était en retard pour dîner, je me disais : « Qu’est-ce qu’elle va encore me raconter ? » En dehors du récit de ses prouesses, elle n’avait d’ailleurs aucune espèce de conversation. C’est pour cela que j’ai divorcé. Pour pouvoir enfin parler d’autre chose !…

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Un homme dans la maison de Tristan Bernard

Saynète, jouée au Théâtre Saint-Michel en janvier 1927 (jouée avec la pièce Le Sexe fort ou la Volonté de l’homme), extraite du recueil Théâtre sans directeur (Editions Albin Michel, 1930). Source BnF/Gallica
Distribution : 3 hommes, 1 femme
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L’argument

M. Lemorandel, 66 ans, ancien magistrat est chargé de chaperonner sa nièce Irma, qui doit régler quelques affaires de famille en province. Ils sont de passage dans la maison de campagne de Lemorandel ; ils ont croisé un capitaine de leur connaissance, qu’ils ont invité à dîner.  La maison est si isolée que Lemorandel, très craintif, ne veut pas y dormir une seconde nuit et a appelé un voiturier pour les conduire dans une auberge. Alors qu’ils attendent le voiturier et que le capitaine est parti, Lemorandel fait la morale à sa nièce et condamne son inconduite. Le capitaine est un brave garçon, qui n’a pas songé faire la cour à Irma, contrairement à tous les autres hommes rencontrés pendant la journée…

 

 

Pierrot posthume de Théophile Gautier en collaboration avec Paul Siraudin

Arlequinade en un acte et en vers, représentée pour la première fois le 4 octobre 1847 au théâtre du Vaudeville.
Distribution : 3 hommes et 1 femme
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L’argument

Arlequin est amoureux de Colombine, la femme de Pierrot. Il profite de la disparition de Pierrot pour la séduire, quand Pierrot réapparaît. Mais Pierrot ne sait plus s’il est vivant ou non et ce ne sont pas les remèdes du Docteur, un épouvantable charlatan, qui vont l’aider.

Caricature de Nadar

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b105385620/f1.item
Arlequinades . Extrait de l’œuvre graphique de Nadar. Source : BnF/Gallica

Nadar a produit de très nombreuses caricatures de grands hommes de son époque. C’est pour ce projet qu’il commence à utiliser la photographie.  (Le Panthéon Nadar réunit 300 grands hommes de l’époque sur les 1 000 prévus.)

Pièce à l’affiche à Paris par la Compagnie JCL

Lucie de George Sand

Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Gymnase-Dramatique le 16 février 1856.
Distribution : 3 hommes, 1 femme
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L’argument

Adrien revient des Etats-Unis avec son ami Stephens, après une longue absence. Son père est décédé en laissant une fille Lucie, qu’il a eue avec une gouvernante. Daniel, l’intendant, fait tout ce qu’il peut pour protéger les intérêts de Lucie, que sa mère, une femme intéressée et déplaisante, ne veut plus voir. Stéphane et Adrien tombent tous deux sous le charme de Lucie. Par ailleurs, le portefeuille qui contenait toute la fortune du père a disparu…

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530143399
Estampe de George Sand (1843). Source : BnF/Gallica

L’Invité ou Huit jours à la campagne de Jules Renard

Comédie en un acte, représentée pour la première fois au Théâtre de la Renaissance, le 5 février 1906.
Distribution : 3 femmes, 1 homme
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L’argument

Un jeune Parisien, Georges Rigal, veut passer «huit jours à la campagne» chez son ami, Maurice Perrier. Il arrive dans la maison familiale, mais il n’est pas attendu et son ami est absent. Il reçoit un accueil glacial de la part de la grand-mère, Maman Perrier.

Extrait

Madame Perrier
Maurice est sorti ce matin, avant le passage du facteur. Il n’a donc point lu votre lettre, et je ne l’ai pas décachetée ; je l’avais mise dans ma poche. Tenez, monsieur.

Georges
Vous pouvez la lire, madame.

Madame Perrier
C’est inutile, monsieur, puisque vous voilà.

Georgesprenant la lettre.
Elle ne renferme aucun secret, madame ; j’écrivais à Maurice. Il pose sa valise sur le banc, ouvre la lettre et lit : « Cher ami, mon congé m’est accordé. Il y a si longtemps que tu me retiens et que je te promets ces huit jours… »

Maman Perrierinquiète.
Huit jours !

Madame Perrierd’un ton insignifiant, pour réparer.
Huit jours.

Georges
J’ai mis huit jours, pour mettre un chiffre, mais je resterai autant que je voudrai, autant que Maurice voudra, autant que vous voudrez, mesdames… (Il continue de lire la lettre.) « J’arriverai demain matin jeudi, (c’est aujourd’hui, vous voyez si je suis exact !) par le premier train ; je me fais une joie de bavarder avec toi et de connaître enfin madame ta mère et mademoiselle ta sœur…»

Maman Perrier
Et la grand-mère, on n’en parle pas ?

Georges
Oh ! Madame.

Maman Perrier
Elle ne compte plus !

Georges
Pouvez-vous dire, madame ?

Maman Perrier
Maurice, je parie, m’a déjà donnée à tuer.

Georges.
Non, madame.

Maman Perrier.
Ça ne m’étonnerait pas de lui. Vous ne saviez peut-être pas seulement que j’existe ?

Georges.
Oh ! madame, je sais… je sais de quelle affection Maurice vous aime. Je vous ai oubliée par étourderie. Excusez-moi.

Madame Perrierarrangeante.
D’ailleurs, à quoi ça sert d’écrire des longues lettres qui n’en finissent plus, quand on va se voir ?

Georges.
N’est-ce pas, madame ? Vous avez bien raison.
Silence.
Je reprends donc ma lettre.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k442299f/f1.item
Les Hommes du jour / dessins de A. Delannoy ; texte de Flax. 3 avril 1909. Source : BnF/Gallica

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Poil de Carotte de Jules Renard

Comédie en un acte, représentée pour la première fois le 2 mars 1900, au théâtre Antoine.
Distribution : 2 hommes, 2 femmes
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L’argument

Comme à son habitude, alors que son frère est à la pêche, Poil de Carotte, âgé de 16 ans travaille dans la cour. Annette la nouvelle servante de la famille Lepic arrive. Poil de Carotte la met au courant des habitudes de la maison et Annette découvre la triste condition du fils  détesté de sa mère et délaissé par son père. Elle provoque un échange entre le père et son fils, qui se parlent enfin et dévoilent leurs sentiments.

Extrait :

Poil de Carotte
Et la famille, papa ? Quelle blague !… Quelle drôle d’invention !

M. Lepic
Elle n’est pas de moi.

Poil de Carotte
Sais-tu comment je la définis, la famille ? Une réunion forcée… sous le même toit… de quelques personnes qui ne peuvent pas se sentir.

M. Lepic
Ce n’est peut-être pas vrai dans toutes les familles, mais il y a, dans l’espèce humaine, plus de quatre familles comme la nôtre, sans compter celles qui ne s’en vantent pas.

Poil de Carotte
Et tu es mal tombé.

M. Lepic
Toi aussi.

Poil de Carotte
Notre famille, ce devrait être, à notre choix, ceux que nous aimons et qui nous aiment.

M. Lepic
Le difficile est de les trouver… Tâche d’avoir cette chance plus tard. Sois l’ami de tes enfants. J’avoue que je n’ai pas su être le tien.

Poil de Carotte
Je ne t’en veux pas.

Pour aller plus loin

À propos de Poil de Carotte

Jules Renard a rappelé la genèse de la création de la pièce dans une conférence donnée aux adhérents de l’Amicale des Instituteurs de la Nièvre  le 29 octobre 1904 à Nevers.
«  Annette existe déjà dans un chapitre du livre. Sur scène, c’est elle qui a tiré toutes les ficelles. Etrangère, elle arrive, elle entre en place. Elle ne connaît pas la famille Lepic. Elle interroge Poil de Carotte. Poil de Carotte la renseigne et, du même coup renseigne le public.  »
Il raconte également la première lecture de Poil de Carotte à Tristan Bernard. «  C’est injouable, dans cet état, me dit-il. (…) Je failli me brouiller, pour quelques heures, avec ce vieil ami de 15 ans. (…) L’inspiration, c’est de travailler, a dit Baudelaire. C’est ce que je fis, et incorrigible, je lus la pièce dans son texte neuf, à un autre ami, l’acteur Lucien Guitry. (…) La première partie de la pièce l’émut. Je le vis au picotement de ses yeux. La seconde partie lui parut beaucoup trop longue. (…) Mais justement, moi, je préférais cette seconde partie.
— Ma foi, me dis-je, flûte pour les amis  ! Si on les écoutait, on démolirait tout ce qu’on a bâti. Je ne touche plus à ma pièce.
Cependant j’avais reçu ce télégramme d’Antoine  : «  on me dit que vous avez un Poil de Carotte. Le Théâtre Antoine vous est ouvert tout grand  » La lecture à Antoine marcha bien, et le rôle de M. Lepic lui plut. Qui allait jouer le rôle de Poil de Carotte  ? Ce ne pouvait pas être un homme. Les acteurs, comme les actrices, se rajeunissent volontiers, mais un acteur capable de retourner à l’âge de 12 à 14 ans, ça n’existe pas. Il fallait une femme en travesti, un femme qui eût beaucoup de talent et pas de hanches. »
C’est Suzanne Desprès qui obtint le rôle.
«  Oh ! ces répétitions de Poil de Carotte, je ne les oublierai jamais. Jamais je n’ai vu pleurer dans la vie comme sur la scène du Théâtre Antoine. Les trois femmes de ma pièces Suzanne Desprès (Poil de Carotte), Ellen Andrée (Mme Lepic), Renée Maupin (Annette) pleuraient chacune leur tour, souvent toutes les trois ensemble.
Ne vous y trompez pas. Elles pleuraient non d’émotion à l’étude de leurs rôles, mais parce qu’Antoine était terrible  »

Illustrations extraites des Editions Fayard, 1911

D’après les dessins de Maillaud, et Dudouyt. Editions Fayard 1911. Souce : BnF/Gallica


Affiche, estampe et dessin dans Gallica

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b52504050s/f1.item
Suzanne Desprès dans Poil de carotte : [estampe] / Müller. 1900. Source : BnF/Gallica

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9017084f/f1.item
Poil de Carotte [avec] Miss Suzie Dorlans : [affiche] / Maurice Neumont. 1905. Source : BnF/Gallica

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53130023k/f1.item
[Marie Leconte dans « Poil de carotte » de Jules Renard / dessin de Yves Marevéry] . 1912. Source : BnF/Gallica



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Les Honnêtes Femmes de Henry Becque

Comédie en un acte, représentée pour la première fois à Paris, sur le théâtre du Gymnase, le 1er janvier 1880 et reprise à la Comédie-Française le 27 octobre 1886.
Distribution : 1 homme, 3 femmes
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L’argument

À Fontainebleau, Lambert, un célibataire de trente ans un peu désœuvré, multiplie ses visites chez Mme Chevalier, une mère de famille bourgeoise. Il tente en vain de la séduire, quand arrive Geneviève, une jeune fille qui vient passer quelques jours chez Mme Chevalier. Dans un face à face savoureux, Mme Chevalier va convaincre Lambert d’épouser Geneviève.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53123929d/f1.item
Becque. Auteur dramatique : [photographie, tirage de démonstration] / [Atelier Nadar]. Source : BnF/Gallica
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Publication aux Editions La Comédiathèque

Une exécution, Le Domino à quatre, Les Honnêtes Femmes, La Navette.

Ces quatre courtes pièces proposent quelques scènes de vie dans la France de la fin du XIXème siècle. Henry Becque, le père de la « comédie rosse », situe l’action au guichet d’une gare de province (Une exécution), dans un café (Le Domino à quatre), chez une bourgeoise de province (Les Honnêtes Femmes) et dans le salon d’une femme entretenue à Paris (La Navette).

Ces quatre comédies ont en commun un humour pince-sans-rire, des dialogues ciselés et des chutes surprenantes. Très rarement représentées, elles offrent aux metteurs en scène créatifs une matière riche pour des distributions réduites (de 4 à 6 comédiens et comédiennes).

ISBN 9782377050857
Mars 2017
75 pages ; 18 x 12 cm ; broché.
Prix TTC : 9,90 €

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Faire sans dire d’Alfred de Musset

Proverbe publié dans le Dodecaton, recueil de douze récits de Stendhal, Musset, Vigny, Dumas, Mérimée, Sand… en 1837.
Distribution : 3 hommes, 1 femme.
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L’argument

Mariani est un flûtiste qui s’ennuie dans sa maison isolée. Un soir, l’abbé Fiorasanta et une jeune fille, Julie, se réfugient chez lui. Julie est l’amante de l’abbé et est poursuivie par son frère Appiani, qui veut venger l’honneur de sa famille. Pris de peur, l’abbé s’enfuit seul, en laissant Julie. Mariani se bat avec le frère de Julie et le tue. Il s’apprête à fuir, en proposant à Julie de rester dans sa maison. Mais l’abbé réapparaît. Julie décide de prendre le voile.

Table des matières des deux volumes du Dodecaton

Tome premier

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5480105k

Tome second

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L’Âne et le ruisseau d’Alfred de Musset

Comédie en un acte d’Alfred de Musset, écrite en 1855 et éditée après la mort d’Alfred de Musset en 1858.
Œuvre de commande qui a fait l’objet d’une lecture du vivant de Musset. La pièce est entrée au répertoire de la Comédie-Française en 1961, dans une mise en scène de Jacques Sereys
Distribution : 2 hommes, 2 femmes
Texte intégral à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre.

L’argument

Le Baron de Valbrun aime la Comtesse mais n’ose lui demander de l’épouser. Le marquis de Prévannes, ami du Baron, aime la jeune Marguerite, cousine de la Comtesse, au caractère bien trempé. Le marquis décide d’aider la Comtesse, lasse de cette situation. Il va faire croire au Baron qu’il aime la comtesse, pour le rendre jaloux.

Quelques illustrations

Source : Oeuvres complètes de Alfred de Musset. Oeuvres posthumes. Gallica




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