Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo
Le Dernier Jour d'un Condamné de Victor Hugo Ce texte a été publié en février 1829 sans nom d'auteur. Il a été ensuite réédité en 1832 sous le nom de Victor Hugo. C'est un récit et non pas une pièce…
Le Dernier Jour d'un Condamné de Victor Hugo Ce texte a été publié en février 1829 sans nom d'auteur. Il a été ensuite réédité en 1832 sous le nom de Victor Hugo. C'est un récit et non pas une pièce…
J'ai fait hier un rêve symbolique, dont je ne suis pas mécontent.
La leçon de vélo de Tristan Bernard par Georges Courteline
Féru d'amour pour la petite Machinchouette du théâtre des Douces-Folies, où elle faisait le troisième coléoptère dans le ballet des insectes du Chat-Echaudé, je résolus de prendre exemple sur le capitaine Fracasse et de parvenir par le cabotinage jusqu'au cœur de celle que j'aimais.
- Chou ! cria Monsieur à Madame allongée à son côté, puisque tu as fini de le lire, passe-moi donc l'Echo de Paris, que je voie un peu les nouvelles.
Alors que La Brige vient de déménager, son loueur de piano vient avec des déménageurs lui reprendre.
Hein ? Vous croyez que je ris ? Je suis furieux ! Ces professeurs, quels crétins ! Si jamais je suis ministre, je les supprime ! Vous ne savez pas ce qui m'arrive ? Mon professeur me demande ma leçon ; je n'en savais pas un mot ; il me flanque un zéro. Quelle injustice !
Monologue en vers dit par Saint-Germain du Théâtre du Gymnase, publié en 1883.
"Les hommes sont bêtes, bêtes, bêtes, ne m’en parlez pas ! tenez, je souffre. Ah ! Pascal a bien dit : « L’homme est un roseau ! » Oui, un roseau, c’est-à-dire une chose bête, bête, bête. Ah ! c’est que Pascal était un homme crâne, lui, avec son air de bon apôtre ! Je ne sais pas pourquoi l’on dit toujours « l’Agneau Pascal ! » Ne vous y fiez pas !
On veut réformer la Constitution ! C’est parfait ! je ne la connais pas, moi, cette Constitution ; mais il est évident qu’elle a besoin de réparations parce qu’il n’est pas de si bonne Constitution qui ne se détériore avec le temps. Alors il s’est agi de s’entendre. C’est pour cela qu’on a réuni le Congrès… et on n’a rien entendu du tout ! On a crié si fort, qu’il n’y a que les sourds qui ont entendu quelque chose, et que ceux qui entendaient en sont revenus sourds. Eh ! bien, pendant qu’on criait, je l’ai trouvé le remède ; je l’ai trouvé dans le journal. Pour les constitutions faibles, demander le fer Bravais ! Eh bien, voilà votre affaire ! le fer ! tout le monde aux fers ! C’est le seul moyen d’avoir un peuple libre et indépendant. Eh ! bien, alors, vling ! vlan ! réformons !