Pièces pour 2 comédiens ou comédiennes

Œuvres théâtrales pour 2 comédiens ou comédiennes présentes dans le répertoire de Libre Théâtre (texte intégral)

 

Série de lettres envoyés par Marthe Passoire au député Courbouillon lui demandant de l'aide pour qu'elle évite d'aller en prison à la suite d'un flagrant délit d'adultère.

Oh ! sapristi. Huit heures ! Et Totoche qui m'attend à neuf !Avec ça qu'elle est femme à me laisser à la porte pour un retard de dix minutes !... Hâtons-nous.

Illustration de Théophile-Alexandre Steinlen, extrait du "Gil Blas illustré", Steinlen 1894. Source : BnF/Gallica Madame de Brossarbourg  craint pour son honneur car quelqu’un lui a mis la main aux fesses.  Elle raconte à son mari que pour s’assurer de l’identité de l’auteur de ces attouchements, elle a couché avec tous ses invités : Monsieur de Proutrépéto, Monsieur de Poilu-Boudin, le général baron de la Rossardière, M. de Brossarbourg rit de la bêtise de sa femme : c'est lui qui en était l'auteur...

Un dramaturge en plein labeur de Tristan Bernard Saynète. Retraitement par Libre Théâtre à partir du recueil Théâtre sans directeur (Editions …

Chichinette. Je voudrais faire dire une messe. Oui, mais je vais vous dire ; je voudrais quelque chose de bien, et de pas trop cher en même temps.

Il est extraordinaire que cette fille ne revienne pas. Voilà au moins vingt-minutes qu'elle est partie aux cabinets en me disant de me mettre au lit. Je commence à être inquiet. Aurais-je agi à la légère en lâchant les vingt francs d'avance ?

Bobechotte discute avec Gustave dit Trognon. La discussion devient difficile car Bobechotte a quelques difficultés avec les liaisons.

« J' vends du buis l'jour des Rameaux »

Scène à table entre un homme et sa belle-mère qui l'accuse d'être un pornographe, à cause de ses écrits.

Vrai, on a beau être édifié sur l'ignorance du public, il y a toujours des surprises et il est des gens tellement bêtes que ce serait à leur fiche des gifles. Ainsi vous voyez bien cette dame, n'est-ce pas ? Elle arrive il y a cinq minutes et me déclare avec la même tranquillité que je mets à vous le redire : - Monsieur, je désirerais avoir trois gueules de bois.

Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d'hiver. C'est son jour de réception mais il est l'unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour.  Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s'achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer.

Une femme trompée vient conter ses malheurs chez une amie. Tout le dialogue est une alternance de pleurs déchirants et de remarques totalement futiles.

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